Текст и перевод песни Montez de Durango - Lágrimas Del Corazón

Lágrimas Del Corazón

Bueno!?
Hola Mijo!
Papito! Cuando vas a venir?
Hola mi niño que tal, yo sigo aca con ganas de verlos
No los dejo de extrañar Y cada vez mas, los echo de menos
Dime como esta mama dile por favor que están en mi mente
Que eh venido a triunfar no hay mas que aguantar, debemos ser fuertes
Cuando es que vas a volver te oigo preguntar Y me tiemblan los labios
Si yo pudiera volar, poder tener alas Y estar a tu lado
Cuando es que vas a volver Y yo sin pensar te digo que pronto
Lagrimas del corazon hijo de mi alma estoy derramando
"Que triste es estar lejos de sus queridos
Y todo por salir adelante"
Dime como esta el bebe ese pequeñin que tanto yo sueno
Si lo pudiera tener, mirarlo crecer es lo que deseo
Dile a tu hermana mayor que si quiere dios, voy para sus quince
Para bailar ese valz que le prometí antes de Venirme
Cuando es que vas a volver te oigo preguntar y me tiemblan los labios
Si yo pudiera volar, poder tener alas Y estar a tu lado
Cuando es que vas a volver Y yo sin pensar te digo que pronto
Lagrimas del corazon hijo de mi alma estoy derramando

Larmes du Cœur

Bien !?
Bonjour mon fils !
Papa ! Quand vas-tu revenir ?
Bonjour mon garçon, comment vas-tu ? Je suis toujours ici, avec hâte de vous voir.
Je ne cesse de vous manquer, et chaque jour davantage.
Dis-moi comment va maman, dis-lui s’il te plaît qu’elle est dans mes pensées.
Je suis venu pour réussir, il n’y a plus qu’à tenir bon, nous devons être forts.
Quand vas-tu revenir ? Je t’entends me le demander, et mes lèvres tremblent.
Si je pouvais voler, avoir des ailes et être à tes côtés.
Quand vas-tu revenir ? Et sans hésiter, je te réponds : bientôt.
Les larmes du cœur, fils de mon âme, je les verse.
« Comme c’est triste d’être loin de ses bien-aimés
Et tout cela pour aller de l’avant. »
Dis-moi comment va le bébé, ce petit être que je rêve tant de voir.
Si seulement je pouvais le tenir dans mes bras, le voir grandir, c’est tout ce que je désire.
Dis à ta grande sœur que si Dieu le veut, je serai là pour ses quinze ans.
Pour danser ce valse que je lui ai promis avant de partir.
Quand vas-tu revenir ? Je t’entends me le demander, et mes lèvres tremblent.
Si je pouvais voler, avoir des ailes et être à tes côtés.
Quand vas-tu revenir ? Et sans hésiter, je te réponds : bientôt.
Les larmes du cœur, fils de mon âme, je les verse.