Lyrics and translation Costa feat. Ikki - Ciudad Pecado

Ciudad Pecado

Un, dos, tres... Magia
Olas de absenta la tormenta, ya perdi la cuenta.
De tragar charcos como amores, van ya mas de 30. Desangrarte en todas las letras la palabra marte, compre tu piel para una noche y no volvi a llamarte.

Quemar los ojos Viernes, Lunes, Martes; cerrar todos esos bares cerdos y diamantes.
Calor de antes, tus enanos que se creen gigantes te la has tragado haberlo pensao antes.

Un sueño eterno del que soy yo el dueño buscando escaleras al cielo me encontre el infierno.
Mejor susurra mientras puedas, dime (dime), que calle el piano y entre los violines.

Guarde mi juventud enterrado alli en el descampado, quemaduras de este asfalto de 1º grado, las luces de la calle bailan, me he enamorado, mi piel de atiza, esta ciudad (¿si?)
Ciudad pecado

Abro los ojos, pinto el alma y retuerzo la nada, miro en los bolsillos, solo quedan madrugadas, mi personaje ahorcado bestia que aun no e domado, yo pertenezco a esta ciudad (¿Si?)
Ciudad pecado

Perdi el Nirvana, prendi el vino y pense que me ahogaba.
Fue mi escarpada, la escapada y yo ya no creo en nada
Las bestias sueltas tuyas cientas que yo aun no e domado. Las quemaduras no me mientas... de 1º grado

Un laberitno si me e enamorado me he puesto triste de acordarme el tiempo que a pasado.
Es muy dificil de olvidar, decirte perdonado. Ya lo hablaremos tu y yo. Padre... en algun lado. Piel de cera que se alquila y vende. Ese cuerpo que yo quiero y que ya no me siente, solo quiero verte y tu te tratas como un cliente, yo ya te e comprado el cielo. Billete a billete.

Guarde mi juventud enterrado alli en el descampado, quemaduras de este asfalto de 1º grado, las luces de la calle bailan, me he enamorado, mi piel de atiza, esta ciudad (¿si?)
Ciudad pecado

Abro los ojos, pinto el alma y retuerzo la nada, miro en los bolsillos, solo quedan madrugadas, mi personaje ahorcado bestia que aun no e domado, yo pertenezco a esta ciudad (¿Si?)
Ciudad pecado

(...)
Con airforce blancas, g5orras yankees, siempre hip-hop, yo desayuno Maily como cuchillos, y esos falso que me odian.
Costa 2014 resureccio-ciudad pecado.
Ya no pares finje, hoy hace tanto calor que el mundo se derrite JEJE

Imagine the paradise, fuck that shut, i wonna toook a gun an suicidate. All my life im been considered as the worse
(...)

Ville du Péché

Un, deux, trois... Magie
Vagues d'absinthe, la tempête, j'ai perdu le compte.
J'avale des flaques comme des amours, il y en a plus de 30. Saigner dans toutes les lettres le mot Mars, j'ai acheté ta peau pour une nuit et je ne t'ai plus jamais appelé.

Brûler les yeux vendredi, lundi, mardi; fermer tous ces bars cochons et diamants.
La chaleur d'avant, tes nains qui se croient des géants, tu l'as avalé, tu aurais dû y penser avant.

Un rêve éternel dont je suis le maître, à la recherche d'escaliers vers le ciel, j'ai trouvé l'enfer.
Chuchote plutôt tant que tu peux, dis-moi (dis-moi), que le piano se taise et que les violons entrent.

J'ai enterré ma jeunesse là-bas dans la friche, brûlures de ce bitume de 1er degré, les lumières de la rue dansent, je suis tombé amoureux, ma peau s'enflamme, cette ville (oui?)
Ville du péché

J'ouvre les yeux, je peins l'âme et je tords le néant, je regarde dans mes poches, il ne reste que des matins, mon personnage pendu, bête que je n'ai pas encore domptée, j'appartiens à cette ville (oui?)
Ville du péché

J'ai perdu le Nirvana, j'ai allumé le vin et j'ai pensé que je me noyais.
C'était ma pente raide, l'échappatoire, et je ne crois plus à rien
Tes bêtes sauvages, des centaines, que je n'ai pas encore domptées. Les brûlures ne me mentent pas... du 1er degré

Un labyrinthe, si je suis tombé amoureux, je suis devenu triste de me souvenir du temps qui s'est écoulé.
C'est très difficile d'oublier, te dire pardonné. On en parlera, toi et moi. Père... quelque part. Peau de cire qui se loue et se vend. Ce corps que je veux et qui ne me sent plus, je veux juste te voir et tu te traites comme une cliente, je t'ai déjà acheté le ciel. Billet après billet.

J'ai enterré ma jeunesse là-bas dans la friche, brûlures de ce bitume de 1er degré, les lumières de la rue dansent, je suis tombé amoureux, ma peau s'enflamme, cette ville (oui?)
Ville du péché

J'ouvre les yeux, je peins l'âme et je tords le néant, je regarde dans mes poches, il ne reste que des matins, mon personnage pendu, bête que je n'ai pas encore domptée, j'appartiens à cette ville (oui?)
Ville du péché

(...)
Avec des Air Force blanches, des casquettes yankees, toujours hip-hop, je déjeune avec des couteaux comme Mailys, et ceux qui me détestent, ces faux.
Costa 2014 ressuscité - ville du péché.
Ne t'arrête pas, fais semblant, il fait tellement chaud aujourd'hui que le monde fond JEJE

Imagine le paradis, oublie ça, je veux prendre une arme et me suicider. Toute ma vie, j'ai été considéré comme le pire
(...)