Rafa Pons - Nueva York - traduction des paroles en français

Paroles et traduction Rafa Pons - Nueva York




Nueva York
New York
Desde mi cama veo Nueva York
De mon lit, je vois New York
Tengo que cambiar el póster.
Je dois changer l'affiche.
Puede que hoy todo vaya mejor
Peut-être que tout ira mieux aujourd'hui
Y simplemente aún no lo note.
Et je ne l'ai tout simplement pas encore remarqué.
Barcelona no sabe pensar
Barcelone ne sait pas penser
Cuando el cielo está nublado.
Quand le ciel est nuageux.
Que diablos pasa en la ciudad,
Que se passe-t-il dans la ville,
Los perros parecen gatos.
Les chiens ressemblent à des chats.
Yo cada día pillo el mismo tren
Chaque jour, je prends le même train
Limusina de peatones.
Limousine de piétons.
Cierro los ojos y cuento hasta cien
Je ferme les yeux et compte jusqu'à cent
Mientras pasan las estaciones.
Alors que les saisons passent.
Al final sólo sabré dormir contigo.
Au final, je ne saurai dormir que avec toi.
Al final voy a estar vivo.
Au final, je serai en vie.
Yo soy el único verso que nunca me atreví a rimar.
Je suis le seul vers que je n'ai jamais osé rimer.
Y esa voz que en silencio siempre me intenta inspirar.
Et toi, cette voix qui en silence essaie toujours de m'inspirer.
Y aunque me tiemblen las manos nunca dejaré de escribir
Et même si mes mains tremblent, je ne cesserai jamais d'écrire
Tu nombre en las servilletas manchadas del café París,
Ton nom sur les serviettes tachées du café de Paris,
Donde te esperaba y aún te espero.
je t'attendais et je t'attends encore.
Conseguí subirme a un pedestal
J'ai réussi à monter sur un piédestal
Pero me di contra el techo.
Mais je me suis cogné au plafond.
No diré que todo vaya mal
Je ne dirai pas que tout va mal
Pero en el fondo lo sospecho.
Mais au fond, je le soupçonne.
Veo un charco y busco el flotador
Je vois une flaque d'eau et je cherche le flotteur
Y tu sueñas con Venecia.
Et tu rêves de Venise.
Caricaturas del amor,
Des caricatures de l'amour,
Un cenizo y cenicienta
Un cendrier et Cendrillon
Yo soy el único verso que nunca me atreví a rimar.
Je suis le seul vers que je n'ai jamais osé rimer.
Y esa voz que en silencio siempre me intenta inspirar.
Et toi, cette voix qui en silence essaie toujours de m'inspirer.
Y aunque me tiemblen las manos nunca dejaré de escribir
Et même si mes mains tremblent, je ne cesserai jamais d'écrire
Tu nombre en las servilletas manchadas del café París
Ton nom sur les serviettes tachées du café de Paris
Donde te esperaba y aún te espero.
je t'attendais et je t'attends encore.
Desde mi cama veo Nueva York
De mon lit, je vois New York
Tengo que cambiar el póster.
Je dois changer l'affiche.





Writer(s): Ripoll Rafael Pons


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