Linea 77 feat. Franz Goria - Non esistere - перевод текста песни на французский

Текст и перевод песни Linea 77 feat. Franz Goria - Non esistere




Non esistere
Non esistere
Uomini uguali, normali, che si muovono con i loro ideali, sono loro
Des hommes pareils, normaux, qui se déplacent avec leurs idéaux, c'est eux
Le sagome dipinte dietro ai cancelli, nei cortili sono loro
Les silhouettes peintes derrière les grilles, dans les cours, c'est eux
Le urla, le grida e il tempo non cancella se non viene cancellato
Les cris, les hurlements et le temps ne s'efface pas à moins qu'il ne soit effacé
Il giorno non si ferma, tutto è stato regolato
Le jour ne s'arrête pas, tout est réglementé
Il senso del possesso, l'istinto rinnovato
Le sentiment de possession, l'instinct renouvelé
Di un uomo che non corre se non è inseguito
D'un homme qui ne court que s'il est poursuivi
E rimangono le case, i cortili, i pensieri riflessi sui vetri
Et il reste les maisons, les cours, les pensées reflétées sur les vitres
Il fumo che sale verso il sole, il giorno che non vuole passare
La fumée qui monte vers le soleil, le jour qui ne veut pas passer
In un tempo che non si vuole fermare
Dans un temps que l'on ne veut pas arrêter
Il cielo non smette di sudare polvere e grasso dalle ciminiere
Le ciel ne cesse de suer de la poussière et de la graisse des cheminées
Sull'asfalto si confonde odore, colore di catrame
Sur l'asphalte se confond l'odeur, la couleur du goudron
Nell'aria che brucia, che non lascia respirare
Dans l'air qui brûle, qui ne laisse pas respirer
L'inutile illusione di esserci riuscito
L'inutile illusion d'y être parvenu
Di potersi conservare, ritrovare, ricordare
De pouvoir se préserver, se retrouver, se souvenir
Mentre il tempo non cancella se non viene cancellato
Alors que le temps ne s'efface pas à moins qu'il ne soit effacé
Il senso del possesso, di quello che sei stato
Le sentiment de possession, de ce que tu as été
E rimangono le case, i cortili, i pensieri riflessi sui vetri
Et il reste les maisons, les cours, les pensées reflétées sur les vitres
Il fumo che sale verso il sole, il giorno che non vuole passare
La fumée qui monte vers le soleil, le jour qui ne veut pas passer
In un tempo che non si vuole fermare
Dans un temps que l'on ne veut pas arrêter
Si confondono i colori
Les couleurs se confondent
Con l'odore di catrame
Avec l'odeur du goudron
Ma il tempo non cancella se non viene cancellato
Mais le temps ne s'efface pas à moins qu'il ne soit effacé
Il gioco non si spezza, tutto è stato regolato
Le jeu ne se brise pas, tout est réglementé
Il senso del possesso, l'istinto rinnovato
Le sentiment de possession, l'instinct renouvelé
Di un uomo che non corre se non è inseguito
D'un homme qui ne court que s'il est poursuivi
Non riesco a non pensare
Je n'arrive pas à ne pas penser
Non riesco a non vedere
Je n'arrive pas à ne pas voir
Non riesco a non distinguere
Je n'arrive pas à ne pas distinguer
Non riesco a non esistere, esistere, esistere
Je n'arrive pas à ne pas exister, exister, exister
Esistere, esistere, esistere
Exister, exister, exister
Esistere, esistere, esistere
Exister, exister, exister





Авторы: Davide Pavanello, Nicola Sangermano, Paolo Pavanello, Tozzo Montanarella


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