If It Doesn't Come Naturally, Leave It (Live 1981) - Al Stewart Übersetzung ins Französische

If It Doesn't Come Naturally, Leave It (Live 1981)

Nothing that's forced can ever be right
If it doesn't come naturally, leave it
That's what she said as she turned out the light
And we bent our backs as slaves of the night
She lowered her guard and showed me the scars
She got from trying to fight
Saying, "Oh, you'd better believe it"
Well, I'm up to my neck in the crumbling wreckage
Of all that I wanted from life
When I looked for respect all I got was neglect
Though I swallowed the line as a sign of the times
But dealing a jack from the back of the pack
They said, "You lose again"
Oh, I said, "Who needs it?"
Well, don't get me wrong, now I tried to get on
With the jokers that got in my way
And I put on a smile
And I tried all the while to be straight
But they just wanted more all the time and I'm sure
That you know what I mean when I say
That I'm sick of the touch
And there's only so much you can take
Well, nothing that's real is ever for free
And you just have to pay for it sometime
She said it before, she said it to me
I suppose she believed there was nothing to see
But the same old four imaginary walls
She built for living inside
I said "Oh, you just can't mean it"
Well, there was never a doubt that she had to get out
She was just looking around for a way
In the pit of the night
There was nowhere to hide any more
She was out on a limb, she was reaching for things
That she wanted but just couldn't say
And she had to be sure
That she wouldn't get caught like before
Well, nothing that's forced can ever be right
If it doesn't come naturally, leave it
That's what she said as she turned out the light
And she may have been wrong and she may have been right
But I woke with the frost and noticed she'd lost
The veil that covered her eyes
I said, "Oh, you can leave it"

Si ça ne vient pas naturellement, laisse tomber (Live 1981)

Rien de forcé ne peut jamais être juste
Si ça ne vient pas naturellement, laisse tomber
C'est ce qu'elle a dit en éteignant la lumière
Et nous nous sommes pliés en deux comme des esclaves de la nuit
Elle a baissé sa garde et m'a montré les cicatrices
Qu'elle avait en essayant de se battre
En disant, "Oh, tu ferais mieux d'y croire"
Eh bien, j'ai jusqu'au cou dans les décombres
De tout ce que je voulais de la vie
Quand j'ai cherché le respect, tout ce que j'ai eu, c'est le mépris
Bien que j'aie avalé la ligne comme un signe des temps
Mais en distribuant un valet du fond du paquet
Ils ont dit, "Tu perds encore"
Oh, j'ai dit, "Qui en a besoin ?"
Eh bien, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit, j'ai essayé d'avancer
Avec les jokers qui se sont mis en travers de mon chemin
Et j'ai fait un sourire
Et j'ai essayé tout le temps d'être droit
Mais ils voulaient juste plus tout le temps et je suis sûr
Que tu sais ce que je veux dire quand je dis
Que je suis malade du toucher
Et il y a une limite à ce que tu peux supporter
Eh bien, rien de réel n'est jamais gratuit
Et tu dois juste payer pour ça un jour
Elle l'a déjà dit, elle me l'a dit
Je suppose qu'elle croyait qu'il n'y avait rien à voir
Mais les mêmes vieux quatre murs imaginaires
Qu'elle a construits pour vivre à l'intérieur
J'ai dit "Oh, tu ne peux pas le penser vraiment"
Eh bien, il n'y a jamais eu de doute qu'elle devait sortir
Elle cherchait juste un moyen
Dans le creux de la nuit
Il n'y avait plus d'endroit où se cacher
Elle était sur une branche, elle cherchait des choses
Qu'elle voulait mais qu'elle ne pouvait pas dire
Et elle devait être sûre
Qu'elle ne se ferait pas prendre comme avant
Eh bien, rien de forcé ne peut jamais être juste
Si ça ne vient pas naturellement, laisse tomber
C'est ce qu'elle a dit en éteignant la lumière
Et elle a peut-être eu tort et elle a peut-être eu raison
Mais je me suis réveillé avec le givre et j'ai remarqué qu'elle avait perdu
Le voile qui couvrait ses yeux
J'ai dit, "Oh, tu peux laisser tomber"