Castillos - En Vivo Desde El Auditorio Nacional - Amanda Miguel Übersetzung ins Französische

Castillos - En Vivo Desde El Auditorio Nacional

Gracias

Hubo una vez un país de miel
Con tejados color bermellón
Donde yo era reina y él era el rey
En un reino de cuentos de amor

Un mágico castillo en el aire
Brillaba transparente bajo el sol

Hubo en luego aquella tormenta cruel
Y el castillo del aire cayó
A la luz de un rayo se abrió a mis pies
El abismo de su corazón

Entonces pude verlo tal cual era
Y lo que descubrí me destrozó

Oh-oh, oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh

Mi rey era un monstruo
De piedra
Con el corazón
De piedra

Bajó por mi amor
Con piedras
Rompió mi ilusión
Con piedras

Yo fui una vez esa ingenua fiel
Que este cuento creyó realidad
Y pagué tan caro mi estupidez
Que no quiero atreverme a soñar

No quiero más castillos en el aire
Ni reyes que lastiman sin piedad

Oh-oh, oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh

Mi rey era un monstruo
De piedra
Con el corazón
De piedra

Su amor siempre fue
Mentira
Castillos que hoy
Son ruinas

Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh

Oh-oh
Oh, oh-oh
Oh, oh-oh

¡Gracias! Ja, ja, ja
¡Qué lindos, gracias! Ja, ja, ja
¡Woo! Ja, ja, ja
Muchas gracias por estar acá, chicos
Bienvenidos, vamos a pasar una noche divina
¡Divina!

Châteaux - En direct de l'Auditorium National

Merci

Il était une fois un pays de miel
Avec des toits couleur rouge vermillon
Où j'étais reine et toi, tu étais le roi
Dans un royaume de contes d'amour

Un château magique dans les airs
Brillant transparent sous le soleil

Puis, il y a eu cette tempête cruelle
Et le château dans les airs est tombé
À la lumière d'un éclair, l'abîme de ton cœur s'est ouvert à mes pieds
L'abîme de ton cœur

Alors, j'ai pu te voir tel que tu étais
Et ce que j'ai découvert m'a brisé

Oh-oh, oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh

Mon roi était un monstre
De pierre
Avec le cœur
De pierre

Il est descendu pour mon amour
Avec des pierres
Il a brisé mon illusion
Avec des pierres

J'ai été autrefois cette naïve fidèle
Qui a cru ce conte, une réalité
Et j'ai payé si cher ma stupidité
Que je ne veux plus oser rêver

Je ne veux plus de châteaux dans les airs
Ni de rois qui blessent sans pitié

Oh-oh, oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh

Mon roi était un monstre
De pierre
Avec le cœur
De pierre

Son amour a toujours été
Un mensonge
Des châteaux qui aujourd'hui
Sont des ruines

Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh, oh-oh

Oh-oh
Oh, oh-oh
Oh, oh-oh

Merci ! Ha, ha, ha
Comme vous êtes gentils, merci ! Ha, ha, ha
Woo ! Ha, ha, ha
Merci beaucoup d'être là, les gars
Bienvenue, nous allons passer une soirée divine
Divine !