Cicada Days (Live at Knitting Factory, Spokane, WA) - Will Wood Übersetzung ins Französische

Cicada Days (Live at Knitting Factory, Spokane, WA)

Hello, everyone

The greener grass grows where the wildfires fertilize
With ashes of sparrows, peppered moths, and butterflies
Ghosts of trees and termites bloom in the beanstalk
And you get light-headed when standing too fast
Is it from shaking out the weight of phosphenes and pasts, salt deposits
And warm little rivers, then burst from our words

And God knows, crying ain't gonna change a thing
She said, "Take care"
But I take more than I bring

She said, "It just feels inhumane to lose this much"
"'Cause when you leave, you know, you take more than your love"
Just one week of cicada days, we're losing touch
And I know, it just feels inhumane to lose this much

Our nerves were braided under ceiling stars
That were all glow-in-the-dark
Hanging over queen-sized purple waves of ancient chemicals, just whisper
And did you ever build with those endangered bones?
Well, the ground looks soft enough to bury this, now
Oh-oh, please
Oh, no!

And then my sponsor said, "Do nothing, nothing works"
(And I really did)
And then my doctor said, "Don't do that if it hurts"

She said, "It just feels inhumane to lose this much"
"'Cause when you leave, you know, you take more than your love"
The seasons of cicada days, we can't make up
And I know, it just feels inhumane to lose this much!
Oh-oh, oh-oh, oh-oh!

Let all my red flags fade to white, yeah, I give up
So, don't let me leave
I'll only take more than I gave, okay, I'll pack my stuff
Here at the end of days, my God, what have I done?
Christ, now, it feels damn inhumane to get all I've dreamed of

Oh, oh, oh, oh-oh, oh, oh, oh-oh-oh

Keep coming back, it works if you work it
So work it, you're worth it, it won't if you don't
One day at a time, tomorrow's too late, amen

Jours de cigales (En direct du Knitting Factory, Spokane, WA)

Bonjour à tous

L'herbe la plus verte pousse là où les incendies de forêt fertilisent
Avec des cendres de moineaux, des mites poivrées et des papillons
Des fantômes d'arbres et des termites fleurissent dans la tige de haricot
Et tu as la tête qui tourne quand tu te lèves trop vite
Est-ce à cause du fait de secouer le poids des phosphènes et du passé, des dépôts de sel
Et des petites rivières chaudes, puis éclater de nos mots

Et Dieu sait que pleurer ne changera rien
Elle a dit : "Prends soin de toi"
Mais je prends plus que je ne donne

Elle a dit : "Ça me paraît inhumain de perdre autant"
"'Parce que quand tu pars, tu sais, tu emportes plus que ton amour"
Une semaine de jours de cigales, on perd le contact
Et je sais, ça me paraît inhumain de perdre autant

Nos nerfs étaient tressés sous les étoiles du plafond
Qui étaient toutes phosphorescentes
Suspendues au-dessus de vagues violettes de produits chimiques anciens, murmure juste
Et as-tu déjà construit avec ces os en voie de disparition ?
Eh bien, le sol a l'air assez mou pour enterrer ça maintenant
Oh, oh, s'il te plaît
Oh, non !

Et puis mon sponsor a dit : "Ne fais rien, rien ne marche"
(Et je l'ai vraiment fait)
Et puis mon médecin a dit : "Ne fais pas ça si ça fait mal"

Elle a dit : "Ça me paraît inhumain de perdre autant"
"'Parce que quand tu pars, tu sais, tu emportes plus que ton amour"
Les saisons des jours de cigales, on ne peut pas les rattraper
Et je sais, ça me paraît inhumain de perdre autant !
Oh, oh, oh, oh, oh !

Laisse tous mes drapeaux rouges se faner en blanc, ouais, j'abandonne
Alors, ne me laisse pas partir
Je ne prendrai que plus que ce que j'ai donné, d'accord, je ferai mes valises
Ici, à la fin des jours, mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait ?
Bon Dieu, maintenant, ça me paraît sacrément inhumain d'avoir tout ce que j'ai toujours rêvé

Oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh-oh-oh

Continue à revenir, ça marche si tu le fais marcher
Alors fais-le marcher, tu le vaux bien, ça ne marchera pas si tu ne le fais pas
Un jour à la fois, demain c'est trop tard, amen