Cuir De Russie - Live Olympia 94 - William Sheller Übersetzung ins Englische

Cuir De Russie - Live Olympia 94

On sortait tous les soirs aux neiges de Chrismas
En dansant sur la glace au son d′un violon.
T'es partie sans raison.
J′ai perdu ta trace.
Et j'suis resté sur place
Dans la fanfare d'un monde bizarre
Où tu ne viendras plus me voir,
Où je finirai plus tard
Par me sentir un peu peinard.
D′un mal bizarre,
Enveloppé d′un papier noir
Et qui se déchire comme notre histoire,
Un monde bizarre.

On lancait des pourboires aux traineaux qui passent
Quand les cochers de Weimar chantaient nos chansons.
T'as perdu ton violon
Et les années passent
Et j′suis resté sur place
Dans le brouillard d'un monde bizarre
Où tu ne viendras plus me voir,
Où je finirai plus tard
Par me sentir un peu peinard.
D′un mal bizarre,
Enveloppé d'un papier noir
Et qui se déchire comme notre histoire,
Un monde bizarre

Un monde bizarre
Où tu ne viendras plus me voir,
Où je finirai plus tard
Par me sentir un peu peinard.
D′un mal bizarre,
Enveloppé d'un papier noir
Et qui se déchire comme notre histoire,
Un monde bizarre

Cuir De Russie - Live Olympia 94

Every night we went out to the snows of Christmas
Dancing on the ice to the sound of a violin.
You left without a reason.
I lost your trace.
And I stayed put
In the fanfare of a bizarre world
Where you'll never come to see me again,
Where I'll end up later
By feeling a little relaxed.
From a strange disease,
Wrapped in black paper
And tearing apart like our story,
A bizarre world.

We tossed tips to the passing sleighs
When the Weimar coachmen sang our songs.
You lost your violin
And the years go by
And I stayed put
In the fog of a bizarre world
Where you'll never come to see me again,
Where I'll end up later
By feeling a little relaxed.
From a strange disease,
Wrapped in black paper
And tearing apart like our story,
A bizarre world

A bizarre world
Where you'll never come to see me again,
Where I'll end up later
By feeling a little relaxed.
From a strange disease,
Wrapped in black paper
And tearing apart like our story,
A bizarre world