J'ai oublié mes erreurs d'hier, je les ai mises dans ma tasse de thé et je les ai bues. J'ai éteint les nouvelles du matin et j'ai ouvert la porte. Allons-y, marchons.
« Bonjour », devant la salle de classe, j'entends ta voix, je vois ton visage habituel. Après mille ans, il n'a pas changé. C'est une promesse, que ces journées continuent toujours comme ça.
On vérifie nos téléphones, on se rassure l'un l'autre. L'inquiétude pour demain est ensevelie sous la neige.
« Rêve ou réalité », quel est le choix, professeur
? Crois-moi, s'il te plaît.
La lune d'aurore a souri finement, sans connaître le sens du
« au revoir ». Le battement de mon cœur suit la montre, sa pointe me guide, tic-tac tic-tac, encore aujourd'hui.
Souvenirs flous, qui soufflent violemment. L'espace dans mon cœur, qui parfois fait mal. Il est bon de pleurer, ne te sauve pas. Le soleil que tu vois depuis cet endroit est l'avenir.
« Lindonda »,
« Lindonda », mon cri, fais-le voler.
« Lindonda »,
« Lindonda », j'ai envie de rire encore plus avant de devenir adulte, j'ai envie d'être excitée, j'ai envie de réaliser mes rêves.
Les mots alignés dans la bibliothèque ne peuvent pas comprendre la vraie douleur. Quand connaîtra-t-on le début et la fin
? Chaque printemps revient sans hésitation, mais à chaque carrefour, où est la ligne d'arrivée
? Ne t'inquiète pas, si c'est une impasse, tu peux revenir en arrière et recommencer.
Souvenirs flous, qui soufflent violemment. L'espace dans mon cœur, qui parfois fait mal. Il est bon de pleurer, ne te sauve pas. Le soleil que tu vois depuis cet endroit est l'avenir. Je cours, je cours, tenant le bâton, je suis là, maintenant.