Lyrics and translation Abdel Halim Hafez - Gabbar (Live)

Gabbar (Live)

جبار في رقته جبارفي قسوته جبـار
خدعتني ضحكتـه وخانتني دمعتـه
وماكنتش اعرف قبــل النـهارده
إن العيون دي تعرف تخون بالشكـل ده
ولا كنت اصدق قبل النهارده
إن الحنان يقدر يكون بالشكل ده
عرفته قد ما عرفته ولا عـرفتوش
وشفته قد ما شفته ولا فهمتوش
كان بيقول لي باحبك أيوه كان بيقول
وانا من لهفة قلبي صدقته علـى طول
كنت اشوف واسمع واحس بقلبه هو
كنت عايش مش عشاني عشانه هــــــو
وماكنتش اعرف قبـل النـهارده
إن العيون دي تعرف تخون بالشكل ده
ولا كنت أصدق قبل النهارده
إن الحنان يقدر يكون بالشكل ده
يا معلمني الحب يا ريتني ياريتني
ما تعلمته معاك ولا شفته
ليه تخدعني ليه خليتني
أنسى الدنيا واعيـش بحلاوته
دا مكانش فيه اتنين زينا
شافـوا اللي شوفناه ف حبنا
الحلم كنـا بنحلمه ونكمله من بعضنا
ليه تصحـيني ف وسط الجنة بنار ودموع
كنت ارحمني وسيبني شوية أعيش مخدوع
جبــار ...جبـار ...جبار

Gabbar (Live)

Tyran dans sa tendresse, tyran dans sa cruauté, tyran
Ton sourire m'a trompé, tes larmes m'ont trahi
Et je ne savais pas, avant aujourd'hui,
Que ces yeux pouvaient trahir de cette façon
Je n'aurais jamais cru, avant aujourd'hui,
Que la tendresse pouvait être ainsi
Je t'ai connu autant que je t'ai connu, et pourtant je ne t'ai pas connu
Je t'ai vu autant que je t'ai vu, et pourtant je ne t'ai pas compris
Tu me disais je t'aime, oui, tu me le disais
Et dans l'impatience de mon cœur, je t'ai cru aussitôt
Je voyais, j'entendais, je sentais avec ton cœur
Je vivais, non pas pour moi, mais pour toi
Et je ne savais pas, avant aujourd'hui,
Que ces yeux pouvaient trahir de cette façon
Je n'aurais jamais cru, avant aujourd'hui,
Que la tendresse pouvait être ainsi
Ô toi qui m'as appris l'amour, si seulement, si seulement
Je ne l'avais pas appris avec toi, ni vu
Pourquoi m'as-tu trompé ? Pourquoi m'as-tu fait
Oublier le monde et vivre dans sa douceur ?
Il n'y avait pas deux comme nous
Qui ont vu ce que nous avons vu dans notre amour
Le rêve, nous le rêvions et le complétions ensemble
Pourquoi me réveiller au milieu du paradis avec du feu et des larmes ?
Tu aurais pu avoir pitié de moi et me laisser vivre un peu plus longtemps dans l'illusion
Tyran... Tyran... Tyran