Lyrics and translation Agiris feat. Sunbane - Philosophia

Philosophia

Philosophy
Is always a recurring theme in my day dreams
I'm always looking for the philosophical
A slight tickle in my throat
A cold, sweet tasting kinda choke like I'm sucking on a cough drop Popsicle
Optimistically full of ideas
Thoughts are the agents to tame all my fears
The fear to overlook things so easily in sight
I vow precision on my binoculars
A visionary conqueror
I ponder this idealism is it possible
Like I said I'm philosophical
There's a potency for corrupt mind-sets
Hopelessly I try to interrupt but time gets warped into an etched shape
Too sharp for me to comprehend
I can't pretend that I know what I'm talking about
So I'm forking out whatever comes in to my brain
Hoping that it makes sense to somebody
Even if the English doesn't add up
Even when my Math read shoddy
Mixing things fixes things in a resolution-ary kinda way that I cannot explain I'll say it again

I'm philosophical
I fill my soul and they call me
Diabolical
(I lick the bowl clean
Serving why'scream)
Why do you wanna know
If by the time I close my eyes
I paralyse all the wires 'tween my temples
No, I'm not mental
I'm Ryanominal
It's biological
A killer molecule
I'm philosophical
(What ya feel? what ya feel?)
I feel a soft tickle
Flick the logos light in my brain

Psychology
Is always ripping at the seams of my night screens
I'm always seeking out the psychological
But I'm quite fickle with my quotes
Hypocritical, I'm sick of all my notes
As I float upon the paradoxical
Melodical pool of ideas
My egos and I are all pioneers
Of vindictive, contradictive, victorious spite
Our dissonance type; cognitive
A therepeutic positive
Relative, blindsighted, all-seeing monocle
Don't you thrive in the impossible
A dependency for
'Creativity that's exponential
So what is your potential?'
An etched shape too sharp for me to comprehend
I can't prevent you from holding on to your doubts
See the risk of safety makes me insane
So would you politely state your war!
Even if the future seems too scary
Stuck in nineteen eighty four
The things that bring us a revolutionary brighter day
That spark a little flame is all in the brain

I'm Psychological
No incorrigible complex
'Coz I encourage olive oil
To ink my cerebral cortex
It's pathological
When I'm not, when I'm not in a celestial vortex
Eyes always on the vertical
We be rubbing our poor necks
Me and Bex

Open minded, think deep rooted
Wrinkly fruit we juiced it all out
Flowing, growing mind set, fluid
Palate's what we're all about
Without sleep I seep my rivers
Far beneath the solar's bite
I warned you once before
My deepest thoughts incite the stolen night
Open minded, think deep rooted
Wrinkly fruit we juiced it all out
Flowing, growing mind set, fluid
Palate's what we're all about
Without sleep I seep my rivers
Far beneath the solar's bite
I warned you once before
My deepest thoughts incite the stolen night

Philosophia

Philosophie
Hante toujours mes rêveries quotidiennes,
Je recherche constamment le philosophique,
Un léger chatouillement dans la gorge,
Une sensation froide et douce d'étouffement, comme si je suçais une glace pour la toux.
Pleine d'idées, avec optimisme,
Mes pensées sont les agents qui domptent toutes mes peurs,
La peur de négliger des choses si faciles à voir,
Je jure de la précision sur mes jumelles,
Un conquérant visionnaire,
Je me demande si cet idéalisme est possible,
Comme je l'ai dit, je suis philosophe.
Il existe un potentiel pour les mentalités corrompues,
Je tente désespérément d'interrompre, mais le temps se déforme en une forme gravée,
Trop pointue pour que je puisse la comprendre.
Je ne peux pas prétendre savoir de quoi je parle,
Alors je lance tout ce qui me vient à l'esprit,
En espérant que cela ait un sens pour quelqu'un,
Même si l'anglais ne colle pas,
Même quand mes maths sont bancales.
Mélanger les choses arrange les choses d'une manière révolutionnaire que je ne peux pas expliquer, je le répète,

Je suis philosophe.
Je remplis mon âme et ils me traitent de
diabolique.
(Je lèche le fond du bol,
Servant des cris.)
Pourquoi veux-tu savoir
Si, au moment où je ferme les yeux,
Je paralyse tous les fils entre mes tempes ?
Non, je ne suis pas folle,
Je suis Ryanominale.
C'est biologique,
Une molécule meurtrière.
Je suis philosophe.
(Tu ressens quoi ? Tu ressens quoi ?)
Je ressens un léger chatouillement,
Fais clignoter la lumière des logos dans mon cerveau.

Psychologie
Déchire toujours les coutures de mes écrans nocturnes,
Je suis toujours à la recherche du psychologique,
Mais je suis assez capricieuse avec mes citations.
Hypocrite, j'en ai marre de toutes mes notes,
Alors que je flotte sur le paradoxe,
Un bassin d'idées mélodieux.
Mes ego et moi sommes tous des pionniers
D'une rancune vindicative, contradictoire et victorieuse,
Notre type de dissonance : cognitive.
Un positif thérapeutique,
Un monocle relatif, aveugle et tout-voyant.
Ne t'épanouis-tu pas dans l'impossible ?
Une dépendance à
« Une créativité exponentielle.
Alors, quel est ton potentiel ?»
Une forme gravée trop pointue pour que je puisse la comprendre.
Je ne peux pas t'empêcher de t'accrocher à tes doutes.
Tu vois, le risque de la sécurité me rend folle.
Alors, voudrais-tu bien déclarer ta guerre ?
Même si l'avenir semble trop effrayant,
Coincé en 1984.
Les choses qui nous apportent un jour meilleur et révolutionnaire,
Cette petite flamme qui scintille, tout est dans le cerveau.

Je suis psychologue.
Aucun complexe incorrigible,
Car j'encourage l'huile d'olive
Pour encrer mon cortex cérébral.
C'est pathologique
Quand je ne suis pas, quand je ne suis pas dans un vortex céleste.
Les yeux toujours rivés vers le ciel,
On se frotte le cou,
Bex et moi.

Ouverts d'esprit, aux racines profondes,
Des fruits ridés dont on a tout extrait,
Un état d'esprit fluide, en constante évolution,
Le palais est notre credo.
Sans sommeil, je laisse couler mes rivières,
Loin sous la morsure du soleil.
Je t'avais prévenu,
Mes pensées les plus profondes attisent la nuit volée.
Ouverts d'esprit, aux racines profondes,
Des fruits ridés dont on a tout extrait,
Un état d'esprit fluide, en constante évolution,
Le palais est notre credo.
Sans sommeil, je laisse couler mes rivières,
Loin sous la morsure du soleil.
Je t'avais prévenu,
Mes pensées les plus profondes attisent la nuit volée.