Lyrics and translation Aisles - The Poet, Pt. I: Dusk

The Poet, Pt. I: Dusk

In his madness tears were silent rays
That warmed his body like two hands
In his silence faces watched his pain
In his state love felt like rain.

On his way he found all sorts of men
Whores and books would soothe his ache
Leaned on the wet rail of a city bridge
As cars passed by, his only friends

Time would crush him in a restless sleep
While others thought that life prevailed

All those poems that he learned by heart
Still unanswered they remain
He faced the lies when he was not prepared
You′re never hard when you're thirteen

He walked the city
He had nothing to exchange
His only work was not for sale
In his anger he would base his creed
While beautiful dreams would be kept unknown

A noble man was soon to be destroyed
In the old world of gods where good prevailed

Le Poète, Partie I: Crépuscule

Dans sa folie, les larmes étaient des rayons silencieux
Qui réchauffaient son corps comme deux mains
Dans son silence, les visages regardaient sa douleur
Dans son état, l'amour ressemblait à la pluie.

Sur son chemin, il a rencontré toutes sortes d'hommes
Des prostituées et des livres apaisaient sa douleur
Il s'appuyait sur le rail mouillé d'un pont de la ville
Alors que les voitures passaient, ses seuls amis

Le temps allait l'écraser dans un sommeil agité
Alors que les autres pensaient que la vie prévalait

Tous ces poèmes qu'il avait appris par cœur
Restent sans réponse
Il a fait face aux mensonges alors qu'il n'était pas préparé
On n'est jamais dur quand on a treize ans

Il a marché dans la ville
Il n'avait rien à échanger
Son seul travail n'était pas à vendre
Dans sa colère, il allait fonder son credo
Alors que de beaux rêves resteraient inconnus

Un homme noble allait bientôt être détruit
Dans le vieux monde des dieux où le bien prévalait