Lyrics and translation Alphaville - Girl From Pachacamac

Girl From Pachacamac

I wish I'd had the time to look into your eyes
And quietly say the words
The words that you'd expect
I wish I'd touched your face
And you would hold my hand
Then tears were on our guard
And silence was our friend
And we would leave behind the chaos in our lifes
The struggle and the strife and the black and white
And all the letters that we wrote
Would be printed out in gold
In our memories to behold
Without explanations
To be told...
I dreamt I had the time to listen what you'd say
And what you'd say was true and we could start anew
I saw u bachstage in that chair
Dressed up in lies but oh so fair
And then I took you by the hand and off we went
And we just drank to quench our thirst
That never dies and always burns
Deep in the night out on the streets
I'd like to kiss you too but it wouldn't do
And all the poems that we wrote
Would be printed out in gold
In our memories to behold
Without explanations
To be told...
And we would leave behind the chaos in our lifes
The struggle and the strife and the black and white
And all the letters that we wrote
Would be printed out in gold
In our memory to behold without explanations...
And we just drink to quench our thirst
That never dies and always burns
Deep in the night out on the streets
I'd like to kiss you too without explanations.
To be told.

Fille de Pachacamac

J'aurais aimé avoir le temps de regarder dans tes yeux
Et de te dire doucement les mots
Les mots que tu attends
J'aurais aimé toucher ton visage
Et que tu prennes ma main
Alors les larmes étaient sur nos gardes
Et le silence était notre ami
Et nous laisserions derrière nous le chaos de nos vies
La lutte et la discorde, le noir et le blanc
Et toutes les lettres que nous avons écrites
Seraient imprimées en or
Dans nos mémoires à contempler
Sans explications
À raconter...
J'ai rêvé d'avoir le temps d'écouter ce que tu dirais
Et ce que tu dirais était vrai et nous pourrions recommencer
Je t'ai vu en coulisses sur cette chaise
Vêtue de mensonges mais si belle
Et puis je t'ai prise par la main et nous sommes partis
Et nous avons juste bu pour étancher notre soif
Qui ne meurt jamais et brûle toujours
Au milieu de la nuit dans la rue
J'aimerais t'embrasser aussi mais ce ne serait pas bien
Et tous les poèmes que nous avons écrits
Seraient imprimés en or
Dans nos mémoires à contempler
Sans explications
À raconter...
Et nous laisserions derrière nous le chaos de nos vies
La lutte et la discorde, le noir et le blanc
Et toutes les lettres que nous avons écrites
Seraient imprimées en or
Dans notre mémoire à contempler sans explications...
Et nous buvons juste pour étancher notre soif
Qui ne meurt jamais et brûle toujours
Au milieu de la nuit dans la rue
J'aimerais t'embrasser aussi sans explications.
À raconter.