Lyrics and translation Alysari - Vulture

Vulture

How like a vulture is my mortal soul
Finding trash on the dark side of the road
Vermin and rotting are the things that I merit
Yet redeemed and beloved are the gifts I inherit

Yes a scavenger will scour and a carnivore devour
And the timepiece eats itself upon the hour
And my innards are useless, they pick and peck and gnaw
And my mind is a chalkboard stricken with my claws
How sad to be this creature, a beggar and a fool
Always so uncertain if I bear any fruit

How like a vulture is my mortal soul
Finding trash on the dark side of the road
Vermin and rotting are the things that I merit
Yet redeemed and beloved are the gifts I inherit

So circle overhead me, and keep watch for my flesh
For I'm often prone to falter and I struggle to find rest
And my innards are useless, they pick and peck and gnaw
And I tell You so often that I am ready to fall
How sad to be this creature, disconnected from my face
But how blessed I am to witness such abounding grace

How like a vulture is the human heart
Hunting and shredding at once from the start
We can scavenge on forever, and hunt until we die
And some will turn in circles, cold, before they'd ever turn to Light

Vautour

Comme un vautour, mon âme mortelle
Trouve des ordures du côté sombre de la route
Les vermines et la pourriture sont les choses que je mérite
Mais rachetés et aimés sont les cadeaux que j'hérite

Oui, un charognard fouillera et un carnivore dévorera
Et la pendule se dévore elle-même à l'heure
Et mes entrailles sont inutiles, elles picorent et rongent
Et mon esprit est un tableau noir frappé de mes griffes
Comme c'est triste d'être cette créature, une mendiante et une folle
Toujours si incertaine de savoir si je porte des fruits

Comme un vautour, mon âme mortelle
Trouve des ordures du côté sombre de la route
Les vermines et la pourriture sont les choses que je mérite
Mais rachetés et aimés sont les cadeaux que j'hérite

Alors, tourne au-dessus de moi, et surveille ma chair
Car je suis souvent sujette à vaciller et je lutte pour trouver le repos
Et mes entrailles sont inutiles, elles picorent et rongent
Et je te dis si souvent que je suis prête à tomber
Comme c'est triste d'être cette créature, déconnectée de mon visage
Mais combien je suis bénie de contempler une telle grâce abondante

Comme un vautour est le cœur humain
Chassant et déchiquetant à la fois dès le départ
Nous pouvons fouiller éternellement, et chasser jusqu'à ce que nous mourions
Et certains tourneront en rond, froids, avant de se tourner vers la Lumière