Camina al fin, respirando su cigarro, y la calle de este tiempo le parece el pañuelo de una eterna despedida...
Il marche enfin, respirant sa cigarette, et la rue de ce temps lui semble le mouchoir d'un éternel adieu...
Ojos de miel, defraudados de su espalda, de sus temblorosas piernas, del secreto de su falda,
Des yeux de miel, déçus de son dos, de ses jambes tremblantes, du secret de sa jupe,
Han de saber, que el unico villano es el amor...
Ils doivent savoir que le seul méchant est l'amour...
El incautor, fuma su melancolia, no hay esperanzas que broten, es la madrugada fría,
Le prévaricateur, fume sa mélancolie, il n'y a pas d'espoir qui germe, c'est l'aube froide,
Pero ella y el, hacen funcionar al mundo, con las sales de su sangre mientras otros acaparan cuanto fruto premia el parto...
Mais elle et lui, font fonctionner le monde, avec les sels de leur sang tandis que d'autres accaparent tous les fruits qui récompensent l'accouchement...
Pero ella y el, se verán emancipados cuando su amor los conduzca contra los aprovechados...
Mais elle et lui, seront émancipés quand leur amour les conduira contre les profiteurs...