Animus - Kamikaze - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation Animus - Kamikaze




Kamikaze
Kamikaze
Guck, wie ich deine Gang zerstör', Toni sagte, dass mir diese Welt gehört
Regarde comment je détruis ton gang, Toni m'a dit que ce monde m'appartenait
Drücke ab und jeder Gangster stirbt, denn ich trag' Vollbart, so wie Skënderbeu
J'appuie sur la détente et chaque gangster meurt, car je porte une barbe fournie, comme Skënderbeu
READ MORE
LIRE PLUS
Spucke auf Teufel komm raus mit Patronen gefüttert, in Feuer getauft
Je crache des balles, nourri de cartouches, baptisé par le feu
Die Realität schlägt die Träume zu Staub, darum bringt man das Schnapp ohne Steuern nach Haus
La réalité réduit les rêves en poussière, c'est pourquoi on ramène la beuh à la maison sans payer de taxes
Rapp' wie mit 'nem Rad ab, aggressiv ohne Fahrplan
Je rappe comme si je faisais du vélo, agressif et sans itinéraire
Lad' das Magazin und wart' ab, baller' alles nieder, was abfuckt
Je charge le chargeur et attends, je détruis tout ce qui est foireux
Komm' zu deiner Bande voller aggressiver Typen, die behaupten, sie wären alle harte Kerle auf der Straße
Je débarque dans ton gang, rempli de types agressifs qui prétendent tous être des durs à cuire dans la rue
Breche ohne 'ne Sekunde zu verschwenden direkt dem, der am lautesten bellt, mit 'ner Bombe seine Nase
Sans perdre une seconde, je brise le nez de celui qui aboie le plus fort avec une bombe
Bist du noch klein, hörst du, wie jeder sagt: "Bei uns ist Bruder vor Luder!"
Quand tu es encore jeune, tu entends tout le monde dire : "Chez nous, c'est le frère avant la pute !"
Doch werden die Zeiten dann irgendwann hart, heißt es nur Puder vor Bruder
Mais quand les temps deviennent durs, on entend seulement "la poudre avant le frère"
Gift bringt Para und jeder will ein Stück von diesem haram
Le poison apporte de l'argent et tout le monde veut un morceau de cet haram
Selbst der Jahud macht Tijara in der Nacht mit dem Arab, Dadash
Même le juif fait du Tijara la nuit avec l'arabe, Dadash
Hände sind voller Hornhaut, Fäuste sind voller Narben
Mes mains sont pleines de corne, mes poings sont couverts de cicatrices
Arme sind voller Adern, Augen sind wie ein Radar
Mes bras sont pleins de veines, mes yeux sont comme un radar
Herzen sind Kadaver, Seele brennt wie Lava, Bauch ist viel zu mager, darum hat der Chaba
Les cœurs sont des cadavres, l'âme brûle comme de la lave, le ventre est bien trop maigre, c'est pourquoi le Chaba
Unter seiner Kappa-Jacke eine AK, geht zu einem Schalter und lässt sie da rattern
Sous sa veste Kappa, une AK, il va à un guichet et la laisse crépiter
Kamikaze, Kami-, Kamikaze - mit dem Kopf durch die Wand, wenn ich platze
Kamikaze, Kami-, Kamikaze - la tête la première à travers le mur, quand j'explose
Kami-, Kamikaze, denn sie wissen nicht, wie sehr ich hasse
Kami-, Kamikaze, car ils ne savent pas à quel point je hais
Kami-, Kamikaze, schneid dein Gesicht aus der Maske
Kami-, Kamikaze, je découpe ton visage de ton masque
Besser, du lässt deine Faxen, ich will den Batzen
Tu ferais mieux d'arrêter tes conneries, je veux le magot
Aus dem Weg, denn das Biest ist da, fick deine Hurensohn-Gang ("Okay!")
Dégage de mon chemin, car la bête est là, je baise ton gang de fils de pute ("Okay !")
Fick, wen du Hurensohn kennst ("Okay!") und fick deine Hurensohn-Fam
Je baise tous les fils de pute que tu connais ("Okay !") et je baise ta famille de fils de pute
Ich hab' jeden dieser Hosenscheißer reden lassen, weil ich immer dachte, es ist besser, nichts zu sagen, wenn sie haten
J'ai laissé tous ces trouillards parler, parce que j'ai toujours pensé qu'il valait mieux ne rien dire quand ils haïssent
Aber diese Parasiten dachten irgendwann, sie wären echte Männer - darum ficke ich ihr Leben!
Mais ces parasites ont fini par croire qu'ils étaient de vrais hommes - alors je baise leur vie !
Ein Biest so wie Chabal, neben mir wirken deine Gees so wie Nadal
Une bête comme Chabal, à côté de moi tes gars ressemblent à Nadal
Komm mit deinem Bataillon und es wird fatal, bedien dich wie Abfall, du liegst auf dem Asphalt
Viens avec ton bataillon et ça tournera mal, sers-toi comme dans une poubelle, tu finiras sur le bitume
Sitzen bei Policia und zwitschern, bis man sich mal sieht und dann wird es bitter
Ils vont chez les flics et chantent comme des oiseaux, jusqu'à ce qu'on se retrouve et que ça tourne au vinaigre
Gib mir Beat, Stift und Papier, ich form' 'nen Turm aus Hoffnung daraus
Donne-moi un beat, un stylo et du papier, j'en ferai une tour d'espoir
Werf mich den Wölfen zum Fraß vor, ich komm' als Rudelführer heraus
Jetez-moi en pâture aux loups, j'en sortirai chef de meute
Bring den größten Psychopath, den du kennst, vor mein Auge
Amène-moi le plus grand psychopathe que tu connaisses
Und in Sekunden verliert er Zähne samt seinem Glauben - draußen
Et en quelques secondes, il perdra ses dents et sa foi - dehors
Kreisen tausende Raben, heute bist du unnahbar
Des milliers de corbeaux tournent en rond, aujourd'hui tu es intouchable
Morgen machst du 'nen Fehler, plötzlich holt dich dein Karma
Demain tu feras une erreur, et soudain ton karma te rattrapera
Mitten im Palaber zieht einer sein Butterfly wie ein Katana, giftig wie 'ne Natter
Au milieu du bavardage, quelqu'un sort son papillon comme un katana, venimeux comme une vipère
Denn geht es um das Para, wird hier jeder zu Montana, liefern Kilos in Bananas und das direkt aus Havanna
Car quand il s'agit d'argent, tout le monde devient Montana ici, ils livrent des kilos dans des bananes, directement de La Havane
Kamikaze, Kami-, Kamikaze - mit dem Kopf durch die Wand, wenn ich platze
Kamikaze, Kami-, Kamikaze - la tête la première à travers le mur, quand j'explose
Kami-, Kamikaze, denn sie wissen nicht, wie sehr ich hasse
Kami-, Kamikaze, car ils ne savent pas à quel point je hais
Kami-, Kamikaze, schneid dein Gesicht aus der Maske
Kami-, Kamikaze, je découpe ton visage de ton masque
Besser, du lässt deine Faxen, ich will den Batzen
Tu ferais mieux d'arrêter tes conneries, je veux le magot





Writer(s): Animus, Aribeatz


Attention! Feel free to leave feedback.