Lyrics and translation Banda Machos - Nada es igual

Nada es igual

Y ahora que vuelves quieres prender fuego
Tan solo hay cenizas de aquel gran amor
Quisiste probar besos de otro cariño
Y no ha sido fácil poderte olvidar

¿Y ahora a qué vuelves, pa' quitarte el frío?
Es que ya es muy tarde y nada te pudo dar
Comparaste su amor con el mío
Y te has dado cuenta que nada es igual

Si supieras lo que yo he sufrido, no te hubieras ido
¿Pero qué importa ya?
Es de hombres brindar por su olvido
Y también de machos ponerse a llorar

¿Y pa' qué vuelves, cabezona?
¡Arre, Machos!

¿Y ahora a qué vuelves, pa' quitarte el frío?
Es que ya es muy tarde y nada te pudo dar
Comparaste su amor con el mío
Y te has dado cuenta que nada es igual

Si supieras lo que yo he sufrido, no te hubieras ido
¿Pero qué importa ya?
Es de hombres brindar por su olvido
Y también de machos ponerse a llorar

Si supieras lo que yo he sufrido
No te hubieras ido, ¿pero qué importa ya?
Es de hombres brindar por su olvido
Y también de machos ponerse a llorar

Rien n'est pareil

Et maintenant que tu reviens, tu veux mettre le feu
Il ne reste que des cendres de cet amour immense
Tu as voulu goûter aux baisers d'un autre amour
Et il n'a pas été facile de t'oublier

Et maintenant, pourquoi reviens-tu, pour te réchauffer ?
Il est trop tard et rien ne pouvait te donner
Tu as comparé son amour au mien
Et tu t'es rendu compte que rien n'est pareil

Si tu savais ce que j'ai souffert, tu ne serais pas partie
Mais qu'importe maintenant ?
C'est l'affaire des hommes de trinquer à leur oubli
Et c'est aussi l'affaire des hommes de pleurer

Et pourquoi reviens-tu, tête de mule ?
Allez, les Machos !

Et maintenant, pourquoi reviens-tu, pour te réchauffer ?
Il est trop tard et rien ne pouvait te donner
Tu as comparé son amour au mien
Et tu t'es rendu compte que rien n'est pareil

Si tu savais ce que j'ai souffert, tu ne serais pas partie
Mais qu'importe maintenant ?
C'est l'affaire des hommes de trinquer à leur oubli
Et c'est aussi l'affaire des hommes de pleurer

Si tu savais ce que j'ai souffert
Tu ne serais pas partie, mais qu'importe maintenant ?
C'est l'affaire des hommes de trinquer à leur oubli
Et c'est aussi l'affaire des hommes de pleurer