Lyrics and translation Bane - Bang the Drum Slowly

Bang the Drum Slowly

(Play the fife lowly)
I just cannot stop
Asking why, always why
Running and running
Wandering and wondering
No matter how many years fly by
Screaming "who, what and when"
Like some crazed eight year old
Who needs to know everything
In a world so filled with nothing
Running and running
Towards one ounce of proof
Things that will not crumble at the slightest touch
You tell me who the hell i抦 gonna trust
I can抰 stand looking at grown-ups
Never mind trust them
Loud and proud laughing at things that are not funny
Chewing happily on what is left
Of this cold, gray, flawed world
I just gotta keep right on running
Away from it all
Towards tears born from lesson
Towards dreams instead of dollars
Half my age and stupidly brave
慶uz anything is better than lying in some comfortable deathbed
Staring into the abyss
As afraid of living as i am of not living
Though one time i awoke
And could still feel the cold steel of a sword
That had been thrust into me

Frapper le tambour lentement

(Jouer la flûte doucement)
Je ne peux tout simplement pas arrêter
De me demander pourquoi, toujours pourquoi
Courir et courir
Errer et me demander
Peu importe combien d'années passent
En criant "qui, quoi et quand"
Comme un enfant de huit ans fou
Qui a besoin de tout savoir
Dans un monde si rempli de rien
Courir et courir
Vers une once de preuve
Des choses qui ne s'effondreront pas au moindre contact
Dis-moi à qui diable vais-je faire confiance
Je ne supporte pas de regarder les adultes
Ne parlons même pas de leur faire confiance
Fort et fier, riant de choses qui ne sont pas drôles
Mâchant joyeusement ce qui reste
De ce monde froid, gris et imparfait
Je dois continuer à courir
Loin de tout ça
Vers des larmes nées de la leçon
Vers des rêves plutôt que des dollars
La moitié de mon âge et stupidement courageux
Parce que tout est mieux que de mourir dans un lit confortable
En regardant dans l'abysse
Aussi effrayé de vivre que de ne pas vivre
Bien qu'une fois je me suis réveillé
Et que je pouvais encore sentir l'acier froid d'une épée
Qui avait été enfoncée en moi