Lyrics and translation Billy Joel - Summer Highland Falls (Live at Nassau Coliseum, Uniondale, NY, December, 1977)

Summer Highland Falls (Live at Nassau Coliseum, Uniondale, NY, December, 1977)

They say that these are not the best of times,
But they're the only times I've ever known,
And I believe there is a time for meditation in cathedrals of our own.
Now I have seen that sad surrender in my lover's eyes,
And I can only stand apart and sympathize.
For we are always what our situations hand us...
It's either sadness or euphoria.
So we'll argue and we'll compromise,
And realize that nothing's ever changed,
For all our mutual experience, our separate conclusions are the same.
Now we are forced to recognize our inhumanity,
Our reason co-exists with our insanity.
And though we choose between reality and madness...
It's either sadness or euphoria.
How thoughtlessly we dissipate our energies
Perhaps we don't fulfill each other's fantasies.
And as we stand upon the ledges of our lives,
With our respective similarities...
It's either sadness or euphoria.
Oh-oh-oh oh-oh-oh-oh
oh-oh-oh-ho-oh
oh-oh-oh-ho-oh-ho-oh-oh-oh-oh-oh

Summer Highland Falls (Live at Nassau Coliseum, Uniondale, NY, December, 1977)

On dit que ce ne sont pas les meilleurs moments,
Mais ce sont les seuls que j'ai jamais connus,
Et je crois qu'il y a un moment pour la méditation dans les cathédrales que nous créons.
J'ai vu cette triste soumission dans les yeux de ma bien-aimée,
Et je ne peux que rester à l'écart et compatir.
Car nous sommes toujours ce que nos situations nous donnent...
C'est soit la tristesse soit l'euphorie.
Alors on va se disputer et faire des compromis,
Et réaliser que rien n'a jamais changé,
Pour toute notre expérience commune, nos conclusions séparées sont les mêmes.
Maintenant nous sommes obligés de reconnaître notre inhumanité,
Notre raison coexiste avec notre folie.
Et bien que nous choisissions entre la réalité et la folie...
C'est soit la tristesse soit l'euphorie.
Comme nous gaspillons nos énergies sans réfléchir
Peut-être que nous ne réalisons pas les fantasmes l'un de l'autre.
Et alors que nous nous tenons sur les rebords de nos vies,
Avec nos similitudes respectives...
C'est soit la tristesse soit l'euphorie.
Oh-oh-oh oh-oh-oh-oh
oh-oh-oh-ho-oh
oh-oh-oh-ho-oh-ho-oh-oh-oh-oh-oh