Lyrics and translation BirdPen - Machines Live Like Ordinary People

Machines Live Like Ordinary People

Ticking so quickly I falter I can't breath or sleep now I'm falling so deeper.
Life is exceeding exploding this mess overloading the station will fall.
Coughing and splutter the machine is dying and crying alone in a hole.
Cassette jam is killing the tape decks that hold memories for us all.
Running and breaking the records they're making to win for complete control.
Skylight is breaking and thunder is cracking it's the end for sure.
Corrupting and twisting this system is bleeding and losing all thought control.
Brothers and sisters we're missing existing the overall point of it all.
Machines live like ordinary people.
Machines live like ordinary folk.
Machines live like ordinary people.
Machines for one and one for all.
Machines live like ordinary people.
Machines live like ordinary folk.
Machines live like ordinary people.
Machines for one and one for all.
Coming and knocking at your door.
Machine is dying, dying, dying.

Les machines vivent comme des gens ordinaires

Je tourne si vite que je vacille, je ne peux plus respirer ni dormir, maintenant je tombe de plus en plus profond.
La vie est excessive, elle explose, ce gâchis surcharge la station qui va s'effondrer.
La machine tousse et bégaye, elle meurt et pleure seule dans un trou.
Le blocage de la cassette tue les magnétophones qui contiennent nos souvenirs pour nous tous.
Les disques tournent et se brisent, ils sont faits pour gagner le contrôle total.
Le puits de lumière se brise et le tonnerre se fend, c'est la fin à coup sûr.
Ce système se corrompt et se tord, il saigne et perd tout contrôle de la pensée.
Frères et sœurs, nous manquons l'existence, le but ultime de tout cela.
Les machines vivent comme des gens ordinaires.
Les machines vivent comme des gens ordinaires.
Les machines vivent comme des gens ordinaires.
Machines pour un et un pour tous.
Les machines vivent comme des gens ordinaires.
Les machines vivent comme des gens ordinaires.
Les machines vivent comme des gens ordinaires.
Machines pour un et un pour tous.
Elles viennent frapper à ta porte.
La machine meurt, meurt, meurt.