Lyrics and translation Blind Willie McTell - Statesboro Blues (Remastered)

Statesboro Blues (Remastered)

Wake up mama, turn your lamp down low
Wake up mama, turn your lamp down low
Have you got the nerve to drive Papa McTell from your door

My mother died and left me reckless
My daddy died and left me wild, wild, wild
Mother died and left me reckless
Daddy died and left me wild, wild, wild

No, I'm not good lookin'
I'm some sweet woman's Angel child

You're a mighty mean woman, to do me this a way
You're a mighty mean woman, to do me this a way
When I leave this town, pretty mama, I'm going away to stay

While I loved a woman, better than even I'd ever seen
I once loved a woman, better than even I'd ever seen
Treat me like I was a king and she was a doggone queen

Sister, tell your brother, brother tell your auntie now
Auntie tell your uncle, uncle tell my cousin now, cousin tell my friend
Goin' up the country, mama, don't you want to go?
May take me a fair brown, may take me one or two more

Big Eighty left Savannah, Lord, and did not stop
You ought to saw that colored fireman when he got that boiler hot
You can reach over in the corner mama and hand me my travelin' shoes
You know by that, I've got them Statesboro blues

Mama, sister got 'em, auntie got 'em
Brother got 'em, friend got 'em, I got 'em
Woke up this morning, we had them Statesboro blues
I looked over in the corner, grandpa and grandma had 'em too

Statesboro Blues (Remastered)

Réveille-toi, ma chérie, baisse ta lampe
Réveille-toi, ma chérie, baisse ta lampe
As-tu le courage de chasser Papa McTell de ta porte ?

Ma mère est morte et m’a laissé insouciant
Mon père est mort et m’a laissé sauvage, sauvage, sauvage
Ma mère est morte et m’a laissé insouciant
Mon père est mort et m’a laissé sauvage, sauvage, sauvage

Non, je ne suis pas beau
Je suis l’enfant ange d’une femme douce

Tu es une femme très méchante de me traiter ainsi
Tu es une femme très méchante de me traiter ainsi
Quand je quitterai cette ville, ma belle, je partirai pour de bon

J’ai aimé une femme, plus que toute autre que j’aie jamais vue
J’ai aimé une femme, plus que toute autre que j’aie jamais vue
Elle me traitait comme un roi et elle était une sacrée reine

Sœur, dis à ton frère, frère dis à ta tante maintenant
Tante dis à ton oncle, oncle dis à mon cousin maintenant, cousin dis à mon ami
On monte dans le pays, maman, tu ne veux pas y aller ?
Je pourrais prendre une brune, je pourrais en prendre une ou deux de plus

Le Big Eighty a quitté Savannah, Seigneur, et ne s’est pas arrêté
Tu aurais dû voir ce pompier noir quand il a chauffé cette chaudière
Tu peux aller au coin, maman, et me donner mes chaussures de voyage
Tu sais par là que j’ai le blues de Statesboro

Maman, sœur les a, tante les a
Frère les a, ami les a, je les ai
Je me suis réveillé ce matin, on avait le blues de Statesboro
J’ai regardé dans le coin, grand-père et grand-mère les avaient aussi