Lyrics and translation Bliss n Eso feat. Debaser - Lonely Streets

Lonely Streets

I walk the lonely streets I watch the people passing by I used to watch the falling rain and listen to the sleeper say... every single word here now is coming right from my heartless heart and I... I've never felt like this before this feeling
I'm pure with my passion impossible to predict my mind is a mention my heart is a gift the world doesn't owe you shit you owe the world everything. from the magic on this mic to there fake diamond rings
I create ryhming sing to get me were I am turn your headlights on this heaven wer I stand an adventure with the sand people to push the purity kindly conduct this bizz beautifully
They tell us to sit down ma people they'll stand up cause yes bro eso is
Hudini in handcuffs
Sunrise moonshine another day lives a little
Reminder from god your money ain't shit
And that my ideas are bullet proof my teams in the house my hope can't be hung my dreams can't be drowned
Man makes money money doesn't make man, monkey see monkey do this monkeys got the upper hand. (rejoice)
I walk the lonely streets I watch the people passing by I used to watch the falling rain and listen to the sleeper sayy...
Mother help me it's happened to my brain again the beat plays and the flames descend
So I become Sapient being to be at peace with my monsters the swords from the stone I'm the king of my genre. yeah I no I'm so bro bardic dependant on machines to grow does product
Makeing little seeds that'll die or stem out
Making your head north west bound
We've all made sacrifices like money and physical health
But I'm not ringin the bell
When the bullshit blows I've never sold my soul so there's a chance that I won't up in hell thus far, but I no that things change and I'll convince the devil to free my soul from this instrumental, in my home land security over heats I'll be over sea smoking weed with izm bliss n eso
Every single word here now is coming right from my heartless heart I've never felt like this before this feeling
Ye I've bin feeling alrite keeping the quiet is kept to approach knowing that these crews are the next to blow up right stand on my own two feet we touch mics and demand that you focus please,
Feeling fortunate learning that Portland is where the hemispheres converge on these coordinates
I can gorge this shit ye ov course where sick, one listen will have you worshiping porcelin
I've bin more than a dreeg that feats you the knowledge that I gained when
I ate from the trees fruit
, And now I pass it along become a passionate man that puts cash in his palm bringing action to plans and my back getting strong feeling like atlas and my fam is a faction relong on the tip of your tongue I spit for the drums while the bassers on a rampage that's only begun
I walk the lonely streets I watch the people passing by I used to watch the falling rain and listen to the sleeper sayy...
We gotta stop living for I and start living for we cause
We all ball on this ball together spinning so free
I sing in the breeze but they won't stay to listen cause individually they think we don't make a difference
Time to blow and break the business put the system into spin, I'm that midnight vagabond whose drifting in the wind who just listens with a grin through chaos that mans facing I'm speaking clearly but it's like it's lost in translation
Cause out the pavement we dried the orchids from the ground and blazed with these mines in orbit, ye we find in
Portland that kids are free the youth poetical polecs painting in an inconvinient truth
I'm that mind sleep walker travelling hellish dreams bridging a playfull ego and battered self esteem whether it's a joke or hot whether it's dope or not you want stop what's poppin out of my vocal box, it's like that

Rues Solitaires

Je marche dans les rues solitaires, je regarde les gens passer. J'avais l'habitude de regarder la pluie tomber et d'écouter le dormeur dire... chaque mot ici présent vient droit de mon cœur sans cœur et je... je ne me suis jamais senti ainsi auparavant, ce sentiment.
Je suis pur dans ma passion, impossible à prédire, mon esprit est une mention, mon cœur est un cadeau, le monde ne te doit rien, tu dois tout au monde. De la magie de ce micro à leurs fausses bagues en diamant.
Je crée des rimes chantantes pour en arriver là où j'en suis, allume tes phares sur ce paradis où je me tiens, une aventure avec le sable, des gens pour pousser la pureté, conduis ce biz avec beauté.
Ils nous disent de nous asseoir, mon peuple, ils se lèveront parce que oui, mon frère, Eso est
Hudini menotté.
Lever de soleil, clair de lune, un autre jour vit un peu,
Un rappel de Dieu que ton argent n'est rien,
Et que mes idées sont à l'épreuve des balles, mon équipe est à la maison, mon espoir ne peut être pendu, mes rêves ne peuvent être noyés.
L'homme fait l'argent, l'argent ne fait pas l'homme, le singe voit, le singe fait, ce singe a le dessus. (réjouissez-vous)
Je marche dans les rues solitaires, je regarde les gens passer. J'avais l'habitude de regarder la pluie tomber et d'écouter le dormeur dire...
Mère, aide-moi, c'est arrivé à mon cerveau encore une fois, le rythme joue et les flammes descendent.
Alors je deviens Sapient, un être en paix avec mes monstres, les épées de la pierre, je suis le roi de mon genre. Ouais, je sais, je suis tellement dépendant des machines pour grandir, est-ce que le produit
Fait de petites graines qui mourront ou germeront ?
Faire en sorte que ta tête soit tournée vers le nord-ouest ?
Nous avons tous fait des sacrifices, comme l'argent et la santé physique,
Mais je ne sonne pas la cloche.
Quand les conneries arrivent, je n'ai jamais vendu mon âme, alors il y a une chance que je ne finisse pas en enfer jusqu'à présent, mais je sais que les choses changent et je vais convaincre le diable de libérer mon âme de cet instrumental, dans mon pays natal, la sécurité surchauffe, je serai outre-mer en train de fumer de l'herbe avec izm bliss n eso.
Chaque mot ici présent vient droit de mon cœur sans cœur, je ne me suis jamais senti ainsi auparavant, ce sentiment.
Oui, je me sens bien, garder le silence, c'est s'approcher en sachant que ces équipes sont les prochaines à exploser, se tenir debout sur mes deux pieds, on touche les micros et on exige que tu te concentres, s'il te plaît,
Se sentir chanceux en apprenant que Portland est l'endroit où les hémisphères convergent sur ces coordonnées.
Je peux me gaver de cette merde, oui bien sûr, où on est malades, une écoute te fera adorer la porcelaine.
J'ai été plus qu'une drogue qui te nourrit de la connaissance que j'ai acquise quand
J'ai mangé du fruit de l'arbre,
Et maintenant je le transmets, je deviens un homme passionné qui met de l'argent dans sa paume, qui met ses plans à exécution et mon dos se renforce, je me sens comme Atlas et ma famille est une faction qui s'allonge sur le bout de ta langue, je crache pour les tambours tandis que les bassistes sont en plein déchaînement qui ne fait que commencer.
Je marche dans les rues solitaires, je regarde les gens passer. J'avais l'habitude de regarder la pluie tomber et d'écouter le dormeur dire...
On doit arrêter de vivre pour moi et commencer à vivre pour nous parce que
On est tous sur cette balle qui tourne si librement,
Je chante dans la brise mais ils ne restent pas pour écouter parce qu'individuellement ils pensent qu'on ne fait aucune différence.
Il est temps d'exploser et de casser le business, de faire tourner le système, je suis ce vagabond de minuit qui dérive dans le vent, qui écoute juste avec un sourire le chaos auquel l'homme est confronté, je parle clairement mais c'est comme si c'était perdu dans la traduction.
Parce que sur le trottoir, on a séché les orchidées du sol et on a flambé avec ces mines en orbite, oui on trouve à
Portland que les enfants sont libres, les jeunes poètes policiers peignant une vérité gênante.
Je suis ce somnambule de l'esprit qui traverse des rêves infernaux, reliant un ego joueur et une estime de soi meurtrie, que ce soit une blague ou pas, que ce soit de la drogue ou pas, tu veux arrêter ce qui sort de ma boîte vocale, c'est comme ça.