Lyrics and translation Brotha Lynch Hung - Blood On Da Rug

Blood On Da Rug

(Chorus)
Left his blood on da rug, evidence, could have been mine and his so i been stressed out eva since, left him on the concrete with his head split, found out where i live by this, by this punk bitch, knowin its bout to crack like an indo sack im hella fucked up, so with the heat i commense a peak out the window, waitin, run out the indo, shakin niggas like barry sanders cuz they weak, they weak, hella weak
And i'm at my peak when i'm buckin at my enemy its like ten of me, choppin down trees twistin up leaves bout to make niggas bleed, off the hook like a fish with his lip cut, get away got away rip gut, hit em up with enough lead stuff to turn em into a magnet, body in da dragnet, keep my dickies saggin blue flaggin, body draggin down the street to the end of the creek and seatful you seatin, creepin through da grass, the gardens they call it, and i be draggin on a garcia vega with the green flava neighbahood make a break a duece four, fuck a ho, a lot a niggas dont know, but its lose a ho gain a ho, so bruise a ho whos ta know, youll need to follow me up, leave your body in the back of an '84 cut all chopped up, look through my window at night and you can get glass in your eye after that your ass gonna die screamin and thas no lie, you'll be passin me by every night until i come out wit the minni mac and attack like a pit bull off that dumb shit you pulled
(Chorus)
Nigga i know gotta roll like dough blow da whole east side into smitherines leavin all the bloody river streams, you niggas didn't give a fuck bout me, so i left you stranded on the titanic don't panic you just need some fuckin heat, fuckin wit me nigga it's like fuckin your momma nigga it's right in front of your face nigga it's drama makin your space takin your place nigga you weak weak as fuck mothafucka duck rap your cut tryin to get away from me and my ap let me know when you had enough, cleanin up these streets gettin rid of these hos and foes, you can see me in my blue clothes sittin on trus and vo's, waitin, see me on the street and you aint got nothin to say to me but fuck you wit two dicks and a four fifth, smoke you like a bomb its suckin blood from my moms tits thas how sick i got that gangsta disease i be lovin to bring em to they knees make me nut like semen, see men like a demon, when i red beam em, seen em, with the ap eatin up human beings
(Chorus)
Dem niggas that want to empty out my chest plate i hit em wit fury and make em go sickly from the snake bite, a parasite, you aint tight, try to fuck wit a nigga to get right end up in the pit bull fight, trust me my trusty heat is rusty waitin for the scene to get dusty and all you see is just me, standin like the last man standin but i aint no bruce willis, manic depressin from wrestless i'm a hog about my juice feel it, when i plug you wit the tech, ghetto chef, cuttin niggas up like david caresse welcome to your own death when the phonk was on your nigga crept like a spida denied her of a life, then nutted all up inside her, i kiss the bitches and made em switches, get you for all your riches, in the back yard im diggin ditches tend to act hard and get your lip split, my weapon got the chrome dip like scottie pippen im dippin from long range hit up with part of the game
(Chorus)

Du sang sur le tapis

(Refrain)
Il a laissé son sang sur le tapis, des preuves, ça aurait pu être le mien et le sien, alors je suis stressé depuis, je l'ai laissé sur le béton la tête fendue, j'ai découvert où j'habitais par cette, par cette salope, sachant que ça allait péter comme un pochon d'herbe, je suis défoncé, alors avec la pression, je commence à regarder par la fenêtre, à attendre, à courir après l'herbe, à faire trembler les mecs comme Barry Sanders parce qu'ils sont faibles, ils sont faibles, super faibles
Et je suis à mon apogée quand je m'en prends à mon ennemi, c'est comme si on était dix, à couper des arbres, à tordre des feuilles, à faire saigner les négros, à les décrocher comme un poisson avec la lèvre fendue, à s'enfuir, à s'enfuir, à leur arracher les tripes, à les frapper avec assez de plomb pour les transformer en aimant, le corps dans le filet, à garder mon pantalon baissé, le drapeau bleu, le corps traîné dans la rue jusqu'au bout du ruisseau et tu es assis, tu rampes dans l'herbe, les jardins comme ils les appellent, et je tire sur un Garcia Vega à la saveur verte, le quartier fait une pause, on casse une bouteille, on baise une pute, beaucoup de négros ne savent pas, mais c'est perdre une pute, gagner une pute, alors frapper une pute, qui le saura, tu devras me suivre, laisser ton corps à l'arrière d'une '84 coupée en morceaux, regarde par ma fenêtre la nuit et tu recevras du verre dans l'œil, après ça, tu mourras en hurlant et c'est pas des conneries, tu passeras devant moi tous les soirs jusqu'à ce que je sorte avec le mini mac et que j'attaque comme un pitbull à cause de cette connerie que tu as faite
(Refrain)
Mec, je sais que je dois rouler comme de la pâte, faire exploser tout le côté est en cendres, laissant toutes les rivières de sang, vous les mecs, vous n'en aviez rien à foutre de moi, alors je vous ai laissés en plan sur le Titanic, pas de panique, vous avez juste besoin de chaleur, me chercher des noises, c'est comme baiser ta mère, c'est juste devant ton visage, c'est du drame, prendre ta place, mec, tu es faible, faible comme une merde, canard, rappe ta coupe en essayant de m'échapper, moi et mon flingue, fais-moi savoir quand tu en auras assez, je nettoie ces rues, je me débarrasse de ces putes et de ces ennemis, tu peux me voir dans mes vêtements bleus, assis sur des trus et des verres, à attendre, tu me vois dans la rue et tu n'as rien d'autre à me dire que va te faire foutre avec deux bites et un quatre cinquième, je te fume comme une bombe, ça suce le sang des seins de ma mère, c'est comme ça que je suis atteint de la maladie du gangsta, j'adore les mettre à genoux, me rendre dingue comme du sperme, voir les hommes comme un démon, quand je les vise au laser, les voir, avec le flingue qui dévore les êtres humains
(Refrain)
Ces négros qui veulent vider mon gilet pare-balles, je les frappe avec fureur et les rends malades à cause de la morsure de serpent, un parasite, tu n'es pas costaud, essaie de te battre avec un négro pour avoir raison, tu finiras dans le combat de pitbulls, crois-moi, mon flingue est rouillé, attendant que la scène devienne poussiéreuse et tout ce que tu vois, c'est moi, debout comme le dernier homme debout, mais je ne suis pas Bruce Willis, maniaco-dépressif à cause de l'agitation, je suis un porc à propos de mon jus, sens-le, quand je te branche avec la technologie, chef du ghetto, je découpe les négros comme David Caresse, bienvenue dans ta propre mort quand le phonk était sur ton négro qui rampe comme une araignée, la privant de sa vie, puis éjaculant en elle, j'embrasse les salopes et je les transforme en interrupteurs, je te prends pour toutes tes richesses, dans le jardin, je creuse des fossés, j'ai tendance à faire le malin et à me faire fendre la lèvre, mon arme est chromée comme Scottie Pippen, je tire à longue distance, je frappe avec une partie du jeu
(Refrain)