Lyrics and translation Bruce Robison feat. Charlie Robison - Rayne, Louisiana

Rayne, Louisiana

So long Rayne, Louisiana
Never see me no more
Hundred dollars thirty days in the slammer
I'd rather hit the road
I found I'm goin' crazy
Every day here the same
I'm bound to go to the city
Where nobody knows my name
How many days can I walk this road
From the levee to the farm
Wake up in the morning in the same old place
Only the leavin' is left in gone

So long New Orleans
Nothing but a waste of time
Hot nights down in the quarter
Took me my last dime
Well I count the waves in the water
Just like an old drunk bum
Deep down Mississippi river
Where's it all come from
How many days can you spend in the shadows
Hidin' from the sun
Waitin' for the night to lay your money
On a point that never comes

So long New York City
My dreams are dead and gone
No heart no damn pity
I believe I'm headed home
One time before I'm leavin'
I'm gonna roll them dice
If it comes in I got no worries
If I lose I lose my life
How many days can I spend in the middle
Of the black concrete and cars
Been so cruel and care so little
Bout a man that's come so far

Rayne, Louisiane

Au revoir Rayne, Louisiane
Ne me vois plus jamais
Cent dollars, trente jours au cachot
Je préfère prendre la route
Je crois que je deviens fou
Chaque jour ici est le même
Je dois aller en ville
Où personne ne connait mon nom
Combien de jours puis-je marcher sur cette route
De la levée à la ferme
Je me réveille le matin au même endroit
Seul le départ est laissé dans le passé

Au revoir Nouvelle-Orléans
Rien qu'une perte de temps
Nuits chaudes dans le quartier
Tu m'as pris ma dernière pièce
Je compte les vagues dans l'eau
Comme un vieux clochard
Profondément dans le fleuve Mississippi
D'où vient tout ça
Combien de jours peux-tu passer dans l'ombre
Te cachant du soleil
Attendant la nuit pour miser ton argent
Sur un point qui ne viendra jamais

Au revoir New York City
Mes rêves sont morts et enterrés
Pas de cœur, aucune pitié
Je crois que je rentre à la maison
Une fois avant de partir
Je vais jouer aux dés
Si ça arrive, je n'ai plus de soucis
Si je perds, je perds ma vie
Combien de jours puis-je passer au milieu
Du béton noir et des voitures
Tu as été si cruel et tu t'en fichais
D'un homme qui est allé si loin