Lyrics and translation Buena Fe - De Ti Depende

De Ti Depende

Discolo, Incrédulo, Erial,
Cargo como todos,
Desechos de viejas pasiones
Arido, Cinico, Fatal
Tanta inconsecuencia contamina y luego, dolor,
Decepciones.
Tú te cansaste de llorar,
Te haces antorcha encendida para iluminar mi
Vida
Y comienzo a disfrutar el gusto por tu cercanía,
A seguirte inclusive a riesgo de la tempestad.
La pasión tiene en la desmesura,
La adictiva y única medida,
De ti depende
Que quiera más.
Y se empieza a calentar mi sangre con tu nueva lira
Y me siento otra vez en la ruta
Que he soñado andar
Del primer recuerdo en la memoria
Hasta la ilusión aún no vivída.
De ti depende
Que quiera más.
Rudo, Simple, Mortal,
La desesperanza tiene sus voceros locuaces
Creas, sumas, abres, unes, haces
Sangras lengua adentro
Para no hacer ruido a ladridos voraces.
Ya te empinas a gritar
Solo por las cicatrices, se han filtrado
Tiempos más felices.
Y comienzo a disfrutar el gusto por tu cercanía,
A seguirte inclusive a riesgo de la tempestad.
La pasión tiene en la desmesura,
La adictiva y única medida,
De ti depende
Que quiera más.
Y se empieza a calentar mi sangre con tu nueva lira
Y me siento otra vez en la ruta
Que he soñado andar
Del primer recuerdo en la memoria
Hasta la ilusión aún no vivída.
De ti depende
Que quiera más.

De Ti Depende

Incrédule, aride, perdu,
Je porte comme tous,
Les déchets des vieilles passions
Cynique, sans espoir, funeste
Tant d'incohérences qui polluent et puis, la douleur,
Les déceptions.
Tu t'es lassée de pleurer,
Tu t'es faite torche allumée pour éclairer ma
Vie
Et je commence à apprécier le goût de ta proximité,
À te suivre même au risque de la tempête.
La passion a dans la démesure,
L'addictive et unique mesure,
De toi dépend
Que j'en veuille plus.
Et mon sang commence à se réchauffer avec ta nouvelle voix
Et je me sens à nouveau sur la route
Que j'ai rêvé de parcourir
Depuis le premier souvenir dans la mémoire
Jusqu'à l'illusion encore non vécue.
De toi dépend
Que j'en veuille plus.
Rude, simple, mortel,
Le désespoir a ses porte-parole bavards
Tu crées, tu additionnes, tu ouvres, tu unis, tu fais
Ton sang coule dans ta bouche
Pour ne pas faire de bruit aux aboiements voraces.
Tu grimpes déjà pour crier
Seulement par les cicatrices, se sont filtrés
Des temps plus heureux.
Et je commence à apprécier le goût de ta proximité,
À te suivre même au risque de la tempête.
La passion a dans la démesure,
L'addictive et unique mesure,
De toi dépend
Que j'en veuille plus.
Et mon sang commence à se réchauffer avec ta voix
Et je me sens à nouveau sur la route
Que j'ai rêvé de parcourir
Depuis le premier souvenir dans la mémoire
Jusqu'à l'illusion encore non vécue.
De toi dépend
Que j'en veuille plus.