Lyrics and translation Capaz - A Cuanto Renuncié

A Cuanto Renuncié

El tiempo que perde'is en fumar yo lo gasto en crear,
Soñe' esta mierda, es como jugar, no me puedes cazar,
Enlazo los brillos como un collar, yardas hechas de Bulgari,
Me muevo ma's que Rocco Siffredi en la steady,

Sacrificando mi vida entre manzanas podridas,
Asesino los di'as como Aaron Kosminski
Mientras pi'as, sí, ya te lo adverti' que vendri'a un di'a asi',
Ma's negro que el ojo de un culo,

El futuro tuyo lo veo mal, ya tengo otro muerto en el "frigo",
Sigo, y mientras voy probando tonos nuevos, ya te digo,
Pilla abrigo, Cap desata su niño interior
Expulsando la ansiedad con flows de nivel superior,

Compáralo a co'mics, llamadme Madman,
Suelto barras tan cool que emocionan, no se por qué coño pero funcionan,
Exhibicionista en cuanto li'ricas honestas,
Asi' que ten vista, quita, como Papa John's si habla'is de pizza,

Nací' libre, me importa una polla todo,
Si es lo que esperabas o no, les cazo los flows.

¿A cua'nto renuncie y cuánto sacrifico
Mezclando ingenio y esfuerzo?,
¿Qué hari'a yo sin mí?, ¿que hari'as tu' sin mi'?,
Mira, no lo se', siempre me arriesgué,

Lo tuve que hacer,
No quise otra opcio'n,
Fue necesidad,
Lo hice por mi bien.

Hoy voy a cantar gratis para ti sobre esa mierda de beatbox,
Hay temas miles, Rafa en plan jukebox,
La fama es una celda, yo me elevo como un drone,
La muerte se escribe suave y hoy traigo defuncio'n,

Buscando vinilos para encontrar samples dignos,
Esto no es so'lo llegar y topar, soy puro hip hop
Y sigo respetando a mis mentores no como impostores de ahora,
Me los como en plan gominolas, no saben la hora,

¿Colaborar contigo?, claro que sí,
A 130 bpm's exijo que vaya el puto beat,
¿Es demasiado veloz para ti?, entonces no pidas, ma's claro el agua,
No bailes con las vi'boras, si pides paga,

Impertinencias no tolero ni una,
Hoy es un di'a de esos tan malos que quiero estamparos,
Van de underground, de puros y tal,
Despue's se cambian de ropa y se van a raves a bailar,

Nunca me visteis en esas tesituras, estuve a esas horas
Hurgando en miles de pistas asesora'ndome a solas.

¿A cua'nto renuncie y cuánto sacrifico
Mezclando ingenio y esfuerzo?,
¿Qué hari'a yo sin mí?, ¿que hari'as tu' sin mi'?,
Mira, no lo se', siempre me arriesgué,

Lo tuve que hacer,
No quise otra opcio'n,
Fue necesidad,
Lo hice por mi bien.

Vienen y van, pocos se quedan cuando no hay tela,
Los fieles disfrutan la miel incluso a duras penas,
Sin quejas, raps no son modas robotizadas,
¿Tu' que' mierdas das?, si un día para ti es pensar en hash,

Pasan los di'as y no haces nada de nada,
Sólo largar como putas marujas, ese es el juego en España,
MC's diciendo lo que quieren oi'r
Con un mensaje claro y fa'cil que puedan digerir,

Meto cada'veres en mi refrigerador, se los llevo a Dios,
Dijeron que me vendi' por compartir sello y no es cierto,
El sello es el medio, ente'rate memo,
Nadie me obliga a escupir li'ricas, intenta esto en casa y delira,

Oye, pelear por internet es de mongolos
Porque no hay tonos en las conversaciones, ve y te lo miras,
Hay vida fuera, no tienen clase en el mic,
A trompicones en las bases van fuera de lo'gica,

Decir que Capaz no transmite es de locos,
¿De dónde crees que viene mi apodo?, os crujo de miles de modos,
El mote lo dice claro, joderme te saldra' caro,
No paro de daros, hijos de puta esta'n celebrando fallos,

Quieren que tropiece pero traigo este drama
Y un arsenal imposible, parece que olvidan que yo les hice,
¿Que por qué sueno tan bien?, pues por el mismo motivo
Por el que un perro se lame a si' mismo: porque puedo,

Empieza a gritar menos y a usar un metro'nomo,
Te pongo a prueba, ma's horas echo ma's en forma, vuela,
Implico al pu'blico como David Letterman,
Les hago parte de mí, notan bien la diferencia entre el resto

Y mis formas de escupir, puro cubo de Rubik,
Estilos u'nicos tengo muchos au'n por pulir,
Cuando el gato no esta' es cuando ratas bailan la salsa,
Vuestro estilo lo hice hace 10 años, cerdos de charca.

¿A cua'nto renuncie y cuánto sacrifico
Mezclando ingenio y esfuerzo?,
¿Qué hari'a yo sin mí?, ¿que hari'as tu' sin mi'?,
Mira, no lo se', siempre me arriesgué,

Lo tuve que hacer,
No quise otra opcio'n,
Fue necesidad,
Lo hice por mi bien.

¿Y cua'nto deje' por el camino en esto?,
¿A cua'nto renuncie y cuanto sacrifico mezclando ingenio y esfuerzo?
¿Qué hari'a yo sin mí? ¿qué hari'as tu' sin mi'?
Mira, no lo se' siempre me arriesgué,

Lo tuve que hacer,
No quise otra opcio'n,
Fue necesidad,
Lo hice por mi bien.

De combien j'ai renoncé

Le temps que tu perds à fumer, je le passe à créer,
J'ai rêvé de cette merde, c'est comme jouer, tu ne peux pas m'attraper,
J'enchaîne les brillants comme un collier, des mètres de Bulgari,
Je bouge plus que Rocco Siffredi en plein tournage,

Sacrifiant ma vie parmi les pommes pourries,
J'assassine les jours comme Aaron Kosminski
Pendant que tu penses, oui, je t'avais prévenu qu'un jour ça arriverait,
Plus noir que le fond d'un cul,

Je vois ton futur mal barré, j'ai déjà un autre mort au "frigo",
Je continue, et pendant que je teste de nouveaux styles, je te le dis,
Prends un manteau, Cap libère son enfant intérieur
Évacuant l'anxiété avec des flows d'un niveau supérieur,

Compare-le à des comics, appelle-moi Madman,
Je lâche des punchlines tellement cool qu'elles émeuvent, je ne sais pas pourquoi mais ça marche,
Exhibitionniste en matière de paroles honnêtes,
Alors ouvre l'œil, dégage, comme Papa John's quand on parle de pizza,

Je suis né libre, je m'en fous de tout,
Que ce soit ce que tu attendais ou non, je chasse les flows.

De combien j'ai renoncé et combien j'ai sacrifié
En mélangeant ingéniosité et efforts ?,
Qu'est-ce que je ferais sans moi ?, qu'est-ce que tu ferais sans moi ?,
Écoute, je ne sais pas, j'ai toujours pris des risques,

J'ai dû le faire,
Je ne voulais pas d'autre option,
C'était une nécessité,
Je l'ai fait pour mon bien.

Aujourd'hui, je vais chanter gratuitement pour toi sur cette merde de beatbox,
Il y a des milliers de sujets, Rafa en mode jukebox,
La gloire est une cellule, je m'élève comme un drone,
La mort s'écrit doucement et aujourd'hui j'apporte le trépas,

Cherchant des vinyles pour trouver des samples dignes,
Ce n'est pas juste arriver et tomber dessus, je suis du pur hip hop
Et je continue de respecter mes mentors, pas comme les imposteurs d'aujourd'hui,
Je les mange comme des bonbons, ils ne voient pas le coup venir,

Collaborer avec toi ?, bien sûr,
À 130 bpm, j'exige que le putain de beat suive,
C'est trop rapide pour toi ?, alors ne demande pas, c'est clair comme de l'eau de roche,
Ne danse pas avec les vipères, si tu demandes, tu paies,

Je ne tolère aucune impertinence,
Aujourd'hui, c'est un de ces mauvais jours où j'ai envie de vous fracasser,
Ils se la jouent underground, purs et durs,
Ensuite ils se changent et vont danser dans des raves,

Tu ne m'as jamais vu dans ces situations, j'étais à ces heures-là
En train de fouiller des milliers de pistes, me conseillant moi-même.

De combien j'ai renoncé et combien j'ai sacrifié
En mélangeant ingéniosité et efforts ?,
Qu'est-ce que je ferais sans moi ?, qu'est-ce que tu ferais sans moi ?,
Écoute, je ne sais pas, j'ai toujours pris des risques,

J'ai dû le faire,
Je ne voulais pas d'autre option,
C'était une nécessité,
Je l'ai fait pour mon bien.

Ils vont et viennent, peu restent quand il n'y a plus rien à gratter,
Les fidèles savourent le miel même dans la difficulté,
Sans se plaindre, les raps ne sont pas des modes robotisées,
Tu donnes quoi, toi ?, si ta seule pensée du jour est le shit,

Les jours passent et tu ne fais rien du tout,
Juste jacasser comme des commères, c'est ça le jeu en Espagne,
Des MC's qui disent ce qu'ils veulent entendre
Avec un message clair et facile à digérer,

Je mets des cadavres dans mon frigo, je les apporte à Dieu,
Ils ont dit que je m'étais vendu pour partager un label et ce n'est pas vrai,
Le label est le moyen, idiot,
Personne ne me force à cracher des lyrics, essaie ça chez toi et délire,

Écoute, se disputer sur internet c'est pour les débiles
Parce qu'il n'y a pas de ton dans les conversations, va voir par toi-même,
Il y a une vie dehors, ils n'ont aucune classe au micro,
Ils s'embourbent dans les bases, ils sont hors de la logique,

Dire que Capaz ne transmet rien, c'est dingue,
D'où tu crois que vient mon surnom ?, je peux te broyer de mille façons,
Le surnom le dit clairement, m'emmerder ça te coûtera cher,
Je n'arrête pas de vous donner, bande d'enfoirés, vous célébrez les échecs,

Vous voulez que je trébuche, mais j'apporte ce drame
Et un arsenal impossible, on dirait que vous oubliez que c'est moi qui vous ai faits,
Pourquoi j'ai l'air si bon ?, pour la même raison
Qu'un chien se lèche lui-même : parce que je peux,

Commence par moins crier et à utiliser un métronome,
Je te mets au défi, plus je m'entraîne, plus je suis en forme, vole,
J'implique le public comme David Letterman,
Je les rends partie prenante, ils sentent bien la différence entre les autres

Et ma façon de rapper, pur Rubik's Cube,
J'ai encore beaucoup de styles uniques à peaufiner,
Quand le chat n'est pas là, les souris dansent la salsa,
Votre style, je le faisais il y a 10 ans, porcs de marigot.

De combien j'ai renoncé et combien j'ai sacrifié
En mélangeant ingéniosité et efforts ?,
Qu'est-ce que je ferais sans moi ?, qu'est-ce que tu ferais sans moi ?,
Écoute, je ne sais pas, j'ai toujours pris des risques,

J'ai dû le faire,
Je ne voulais pas d'autre option,
C'était une nécessité,
Je l'ai fait pour mon bien.

Et qu'est-ce que j'ai laissé en chemin dans tout ça ?,
De combien j'ai renoncé et combien j'ai sacrifié en mélangeant ingéniosité et efforts ?
Qu'est-ce que je ferais sans moi ? Qu'est-ce que tu ferais sans moi ?
Écoute, je ne sais pas, j'ai toujours pris des risques,

J'ai dû le faire,
Je ne voulais pas d'autre option,
C'était une nécessité,
Je l'ai fait pour mon bien.