Lyrics and translation Carlos Cuevas - Por Nuestra Cobardia

Por Nuestra Cobardia

Nos hemos separado, por la falsa razón, que los dos, ignoramos,
Nos hemos separado, después que aquel error,
Al pasado volcamos,
Esperando por ti, y quizás tú por mí, se ha congelado
Ese sublime amor, que la verdad fraguo, y que los dos forjamos,
Nos hemos separado, pero ayer comprendí,
Que hoy mas cerca estamos
Fue mutua la impresión la misma indecisión,
Después que nos miramos
Yo te quise estrechar con ilusión besar, mas no podía
Te fue imposible hablar, y todo quedo igual, por nuestra cobardía

Esperando por ti, y quizás tú por mí, se ha congelado,
Ese sublime amor, que la verdad fraguo, y que los dos forjamos,
Nos hemos separado, pero ayer comprendí,
Que hoy mas cerca estamos,
Fue mutua la impresión, la misma indecisión,
Después que nos miramos,
Yo te quise estrechar, con ilusión besar, mas no podía,
Te fue imposible hablar, y todo quedo igual, por nuestra cobardía

Par Notre Lâcheté

Nous nous sommes séparés, pour la fausse raison, que nous ignorions tous les deux,
Nous nous sommes séparés, après cette erreur,
Que nous avons rejetée dans le passé,
Attendant de toi, et peut-être toi de moi, il s'est figé
Cet amour sublime, que la vérité a forgé, et que nous avons tous les deux forgé,
Nous nous sommes séparés, mais hier j'ai compris,
Que nous sommes aujourd'hui plus proches
L'impression était mutuelle, l'indécision était la même,
Après que nous nous soyons regardés
J'ai voulu te serrer dans mes bras avec l'espoir de t'embrasser, mais je ne pouvais pas
Il t'était impossible de parler, et tout est resté comme avant, par notre lâcheté

Attendant de toi, et peut-être toi de moi, il s'est figé,
Cet amour sublime, que la vérité a forgé, et que nous avons tous les deux forgé,
Nous nous sommes séparés, mais hier j'ai compris,
Que nous sommes aujourd'hui plus proches,
L'impression était mutuelle, l'indécision était la même,
Après que nous nous soyons regardés,
J'ai voulu te serrer dans mes bras, avec l'espoir de t'embrasser, mais je ne pouvais pas,
Il t'était impossible de parler, et tout est resté comme avant, par notre lâcheté