Lyrics and translation Chakuza - Intro

Intro

(Instrumental)
Ihr wollt mein Album, und das ist jetzt der Anfang ihr Ficker
Der Anfang vom Gewitter, Blitze, Donner, Hagel und Winter
Nach diesem Album kann dann keiner mehr was sagen, ihr Spinner
Denn es macht einfach alles klar, wie ein Vater für die Kinder
Das ist nichts, was Du runterlädst und brennst,
Ich bin Chakuza Renegade, der niemals untergeht und kämpft
Willst du unentwegt nur Stress, heißt es Schwuchtel gegen Stenz
Du bist schon so lange im Game, dass du Methusalem noch kennst
Junge, first Round Knock Out
Und ich bin so mörderisch stolz drauf, wie ein Förster auf sein Holzhaus
Ich bin so stolz, nenn mich Spartakus des Raps
Und Du wolltest noch was sagen, doch die Atemluft ist weg
Ja, und ihr kommt aus dem Staunen nicht raus, ihr HipHop-Vögel
Denn dieser Shit pickt Euch die Augen aus wie Hitchcocks Vögel
Jetzt ist das Ungeheuer erwacht, guck dad der Drache bricht aus
Und mein Atem ist aus Feuer, Asche und Staub
Es gibt nur geradeaus, und nicht links oder rechts
Und ihr Spinner hängt euch auf, auf Skills, Flow und Rap
Ich bin real, true und echt, und die Jeans sind figurbetont
Das ist kein Spiel, das ist Beatlefield, Du Hurensohn!

Intro

(Instrumental)
Tu veux mon album, et c'est le début, salope
Le début de l'orage, des éclairs, du tonnerre, de la grêle et de l'hiver
Après cet album, personne ne pourra plus rien dire, connard
Parce que ça clarifie tout, comme un père pour ses enfants
Ce n'est pas quelque chose que tu télécharges et que tu brûles,
Je suis Chakuza Renegade, celui qui ne coule jamais et qui se bat
Tu veux juste du stress en permanence, ça veut dire tapette contre mec
Tu es dans le jeu depuis si longtemps que tu as connu Méthusélèm
Mec, premier round, KO
Et je suis tellement fier de ça, comme un bûcheron de sa cabane en bois
Je suis tellement fier, appelle-moi Spartacus du rap
Et tu voulais encore dire quelque chose, mais ton souffle est parti
Oui, et vous ne cessez de vous émerveiller, vous les oiseaux du hip-hop
Parce que cette merde vous arrache les yeux comme les oiseaux d'Hitchcock
Maintenant, le monstre s'est réveillé, regarde le dragon s'échappe
Et mon souffle est fait de feu, de cendres et de poussière
Il n'y a que tout droit, et pas à gauche ou à droite
Et vous, les cons, vous vous accrochez aux skills, au flow et au rap
Je suis réel, vrai et authentique, et mes jeans sont moulants
Ce n'est pas un jeu, c'est Battlefield, fils de pute !