Chayanne - La Mujer de Pedro - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation Chayanne - La Mujer de Pedro




La Mujer de Pedro
La Femme de Pierre
Y Pedro llega tarde una vez más y ella despierta
Et Pierre arrive en retard encore une fois et elle s'éveille
Se hace que duerme y él le habla igual
Elle fait semblant de dormir et il lui parle toujours comme ça
Algo que inventó en el bar
Un truc qu'il a inventé au bar
Y ella sabe la historia
Et elle connaît l'histoire
Si tuviera un peso por cada desilusión
Si j'avais une pièce pour chaque déception
Y ¿Cuántas mañanas puedes enfrentar? ¿puedes olvidar?
Et Combien de matins peux-tu affronter ? peux-tu oublier ?
¿Cuántas promesas puedes ignorar?
Combien de promesses peux-tu ignorer ?
Antes de cortar esas cadenas que hay en tu corazón
Avant de couper ces chaînes qui sont dans ton cœur
Días, semanas, meses y años que pesan... decía
Des jours, des semaines, des mois et des années qui pèsent... disait-il
Pero ésta noche Pedro encontrará su cama vacía
Mais cette nuit Pierre trouvera son lit vide
Y en un tren, ya tan lejos se encuentra una mujer
Et dans un train, déjà si loin se trouve une femme
Su bolso y un ayer
Son sac et un hier
Y ¿Cuántas mañanas puedes enfrentar?, ¿puedes olvidar?
Et Combien de matins peux-tu affronter ?, peux-tu oublier ?
¿Cuántas promesas puedes ignorar?
Combien de promesses peux-tu ignorer ?
Allá en otro lugar porque aprendiste que hay en tu corazón
dans un autre endroit parce que tu as appris qu'il y a dans ton cœur
¿Cuántas mañanas puedes despertar y nada que olvidar?
Combien de matins peux-tu te réveiller et plus rien à oublier ?
¿Cuántas promesas te puedes regalar?
Combien de promesses peux-tu t'offrir ?
Allá en otro lugar porque aprendiste lo que es el corazón
dans un autre endroit parce que tu as appris ce qu'est le cœur
Y Pedro llega tarde una vez más
Et Pierre arrive en retard encore une fois
Ooh ooh
Ooh ooh
Y Pedro llega tarde una vez más
Et Pierre arrive en retard encore une fois
Ooh ooh
Ooh ooh





Writer(s): Pablo Manavello, Christian Zalles


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