Lyrics and translation Christopher Lee - Charles the Great

Charles the Great

Einhard gather near... come hither to my bedside
The hour that I must retire is drawing ever near
From the exigencies of this life
My deeds laid out before your eyes
And my conscience must be clear.

Charles my dear son the time has now come
The House of Arnulf had produced the heir and son
To lead the faithless where we are all waiting for you now
In the eternal kingdom where we at last are one.

Finally you can look back upon your many great deeds
Like your fathers before you have been planted the seeds
The consummation of your ancestors' ambitions
The founding of a great empire of Christian nations.

Father, this oath I swear that I shall fight to keep the Lord
In all of Francia and beyond
To heathen fields and Saxon hordes
Who would tread upon a sacred place of ours?
Shall learn to fear the name of Charlemagne
One that will be without peer even long after I have gone

Charlemagne, oh Charlemagne
A shaft of light in a Dark Age
For now he is the King of the Franks
Standing tall above men of all ranks
Homage and tribute to him will pay
And all his enemies shall be cast away
'Cause now he has inherited the throne
The young prince who soon came into his own.

Carloman, my dear brother, we grew apart
But my love for you did not depart.
You let the plotters turn your head against me

And then... oh father! Now he is dead...
How his widow and children weep by his bed
Now I am ruler of all your empire
And I am... alone in the adventure
But you came to me, father,
I feel not on my own
And guided me on my sword
As sure as on my throne.

And now you are being besieged by the Saracen,
But holding firm are the Christian Kings of Spain
The Frankish might pushed them back south
'Cross the mountains to form the Spanish March.

And what of the other pagan tribes
Who disrespected His Holy See?
They knelt before him and gave back that
Which they had taken from The Holy City.

Charles le Grand

Einhard, approche... viens ici à mon chevet
L'heure où je dois me retirer approche à grands pas
Des exigences de cette vie
Mes actes sont exposés devant vos yeux
Et ma conscience doit être claire.

Charles, mon cher fils, le moment est venu
La Maison d'Arnulf a produit l'héritier et le fils
Pour conduire les infidèles là où nous attendons tous maintenant
Dans le royaume éternel où nous sommes enfin un.

Enfin, tu peux regarder en arrière sur tes nombreuses grandes actions
Comme tes pères avant toi, tu as planté les graines
L'aboutissement des ambitions de tes ancêtres
La fondation d'un grand empire de nations chrétiennes.

Père, je jure ce serment que je combattrai pour garder le Seigneur
Dans toute la Francie et au-delà
Vers les champs païens et les hordes saxonnes
Qui oseraient fouler un lieu sacré qui est le nôtre ?
Apprendront à craindre le nom de Charlemagne
Un nom qui sera sans égal même longtemps après mon départ

Charlemagne, oh Charlemagne
Un rayon de lumière dans un âge sombre
Car maintenant il est le roi des Francs
Debout au-dessus des hommes de tous rangs
Hommage et tribut lui seront rendus
Et tous ses ennemis seront chassés
Parce qu'il a maintenant hérité du trône
Le jeune prince qui est rapidement devenu un homme.

Carloman, mon cher frère, nous nous sommes éloignés
Mais mon amour pour toi n'a pas disparu.
Tu as laissé les comploteurs te retourner contre moi

Et puis... oh père ! Maintenant, il est mort...
Comme sa veuve et ses enfants pleurent à son chevet
Maintenant, je suis le maître de tout ton empire
Et je suis... seul dans l'aventure
Mais tu es venu à moi, père,
Je ne me sens pas seul
Et tu as guidé mon épée
Aussi sûr que mon trône.

Et maintenant, tu es assiégé par les Sarrasins,
Mais les rois chrétiens d'Espagne tiennent bon
La puissance franque les a repoussés vers le sud
Au-delà des montagnes pour former la Marche espagnole.

Et qu'en est-il des autres tribus païennes
Qui ont manqué de respect à son Saint-Siège ?
Ils se sont agenouillés devant lui et ont rendu ce qui
Qu'ils avaient pris à la Ville Sainte.