Lyrics and translation Clutch - Raised by Horses

Raised by Horses

I was eating dinner at the table with people from the music industry.
They asked me if I liked it in "The City." I said I liked it better in the country.
The label representative asked me what about it most appealed to me.
"I love to listen to the yellowhammer singing ′a little bit of bread and no cheese'."

Then I commenced to do a tap dance on eggplant Parmesan before their eyes.
Guided by voices, whole bag of tricks. Raised by Druids and Horses.

(Then I told them):

"Never underestimate the power of Love. You dig my new horseshoes?
Never underestimate the power of Love."

"Come here quickly he′s lost his mind!"

"Frightened? Well I'm not surprised, you've never seen the likes of me.
Check it, I want a big fat advance and my alfalfa free!"

"Come here quickly he′s lost his mind!"

The manager removed me from the restaurant. A crowd got to gathering around.
I said, "You can throw a man out on his ear, but you can′t keep a good horse down!"
Mounted police sprung to action. Never cut me any bit of slack.
But I wasn't going anywhere ′til they got off my brother's back.

Élevé par les chevaux

Je dînais avec des gens de l'industrie musicale.
Ils m'ont demandé si j'aimais la ville. J'ai dit que je préférais la campagne.
Le représentant du label m'a demandé ce qui m'attirait le plus.
« J'aime écouter le pic-bois chanter ′un peu de pain et pas de fromage′. »

Puis j'ai commencé à faire un pas de danse sur l'aubergine parmesan sous leurs yeux.
Guidé par des voix, un sac plein de tours. Élevé par les druides et les chevaux.

(Puis je leur ai dit):

« Ne sous-estime jamais le pouvoir de l'amour. Tu aimes mes nouveaux fers à cheval ?
Ne sous-estime jamais le pouvoir de l'amour. »

« Viens vite, il a perdu la tête ! »

« Effrayé ? Eh bien, je ne suis pas surpris, tu n'as jamais vu quelqu'un comme moi.
Écoute, je veux une grosse avance et ma luzerne gratuite ! »

« Viens vite, il a perdu la tête ! »

Le gérant m'a fait sortir du restaurant. Une foule s'est rassemblée.
J'ai dit :« Tu peux me mettre à la porte, mais tu ne peux pas empêcher un bon cheval de se relever ! »
La police montée est entrée en action. Ils ne m'ont jamais fait de cadeau.
Mais je ne bougeais pas avant qu'ils ne quittent le dos de mon frère.