Lyrics and translation Cosculluela - Me Tienen Odio

Me Tienen Odio

Que te quieran pero que te odien.
Si no te odian no eres nadie, papi.
Me tienen odio.
Cabrones es obvio, obvio, obv-
Tengo un bi y nunca se la acaba el rollo
La balas pal hoy.
Ella sigue en desarrollo
Odio, odio, odio.
La cara te hacemos repollo
Hoy seguimos en high, pegao como el fly
Clavandome putas, gastando la funda, el príncipe desde Dubai
Somos ricos y famosos, super poderosos y fumando monturro
Mis cheques me llegan por el correo como a los narcos los burros
Menciona mi nombre y te cae en dos horas, nosotros controlamos
Conectao em PR, New York, RD.
A las millas te hubicamos
Tenemos los tambores enganchao en los largos, tu sabes como es que andamo
Con el dedo en el martillo, no importa, soy millo, como quieras te los damos
Me tienen odio.
Cabrones es obvio, obvio obv-
Tengo un bi y nunca se la acaba el rollo
La balas pal hoy. ella sigue en desarrollo
Odio odio odio.
La cara te hacemos repollo
Te pillamos, te dimos, y nos fuimos a noche a celebrar al conquistador
Los cuartos parecían privados, todas las prepagos en baby doll
Te confieso, ahora que te moriste, me siento mucho mejor
Que no me importa un carajo pa donde te fuiste, al inferno a sufrir del ardor
A mi nadie me toca. Si cabron, estoy crecido
Pues yo tengo el poder para hacer que mas nunca tu pises en un cacerio
Fuerza querias medir, no es lo mismo llamarlo que verlo venir
Financiamos la guerra, los coltos, los largos, tambores, peines de refill
Tu sabes como lo hacemos, dime porque te tiras
Si yo aprieto el botón, te cae tu y los tuyos, to contra ti conspira
Mejor retira todo lo que tu has dicho que no te conviene, no hay quien me frene
Te metemos a plena luz, y a mi sin cojones me tiene
Me tienen odio.
Cabrones es obvio, obvio obv-
Tengo un bi y nunca se la acaba el rollo
La balas pal hoy. ella sigue en desarrollo
Odio odio odio.
La cara te hacemos repollo

Ils me détestent

Qu'ils t'aiment, mais qu'ils te détestent.
Si ils ne te détestent pas, tu n'es personne, mon chéri.
Ils me détestent.
Les salauds, c'est évident, évident, évid-
J'ai un gros calibre et il n'a jamais de fin, le bordel.
Les balles pour aujourd'hui.
Elle est toujours en développement.
Haine, haine, haine.
On te fait la tronche comme un chou.
Aujourd'hui, on est toujours en haut, collé comme une mouche.
Je me tape des putes, j'dépense l'oseille, le prince de Dubaï.
On est riches et célèbres, super puissants et on fume des joints.
Mes chèques me parviennent par la poste comme les ânes des narcos.
Mentionne mon nom et ça te tombe dessus en deux heures, on contrôle tout.
Connecté à Porto Rico, New York, République dominicaine.
On te localise à des kilomètres.
On a des tambours accrochés aux longs, tu sais comment on fonctionne.
Le doigt sur la gâchette, peu importe, je suis un millionnaire, comme tu veux, on te les donne.
Ils me détestent.
Les salauds, c'est évident, évident, évid-
J'ai un gros calibre et il n'a jamais de fin, le bordel.
Les balles pour aujourd'hui, elle est toujours en développement.
Haine, haine, haine.
On te fait la tronche comme un chou.
On t'a chopé, on t'a donné et on est partis fêter le conquérant.
Les chambres semblaient privées, toutes les escortes en babydoll.
Je t'avoue, maintenant que tu es mort, je me sens beaucoup mieux.
Que je m'en fous de l'endroit où tu es allé, en enfer pour souffrir de la brûlure.
Personne ne me touche. Oui, connard, j'ai grandi.
Eh bien, j'ai le pouvoir de faire en sorte que tu ne mettes plus jamais les pieds dans une chasse.
Tu voulais mesurer la force, ce n'est pas la même chose de l'appeler que de le voir venir.
On finance la guerre, les colts, les longs, les tambours, les peignes de refill.
Tu sais comment on fait, dis-moi pourquoi tu te tires.
Si j'appuie sur le bouton, toi et les tiens, tout le monde contre toi.
Mieux vaut retirer tout ce que tu as dit car ça ne te convient pas, il n'y a personne pour me freiner.
On te met en pleine lumière, et personne n'a les couilles de me mettre au défi.
Ils me détestent.
Les salauds, c'est évident, évident, évid-
J'ai un gros calibre et il n'a jamais de fin, le bordel.
Les balles pour aujourd'hui, elle est toujours en développement.
Haine, haine, haine.
On te fait la tronche comme un chou.