Lyrics and translation Cuban Link - Cuban Skit

Cuban Skit

Mulato santero "guajiro" vivo de mi labia
No escondo ni vivo mi ruina ni vivo pendiente de quien va a limpiarla
Que respiro farla (Cocaina)
Que voy a palmarla

Famoso en la calle, no redes sociales no tengo ni WhatsApp
Paré por el campo

Metio' en la "tana" (trance)
Me toco los huevos toda la semana y trabajo un par de minutos el fin de semana
(Metio' en la tana) x3
Yo solo miro por lo mío chico

Yo sigo pobre pero huelo a Rico
Lo quiero todo no sé si me explico, si no funciona invierto en el perico

Meto gatillo tiro la mitad, soy el mejor no es nada personal
Por más que pagues no te sale igual (Calidad de estupefacientes)
Puliendo la "sal" en el templo, remueve remuevelo lento
Cortando alicates con "yeso", los tengo gastándose el sueldo
No saben de calle estos pussy's nigga
Demasiado tiempo pa' contar mentiras
Demasiado tiempo con mi puta vida
Para estar jodiendo con un pussy nigga
Doblando el negocio agachado filtrando la grasa ladrillo morado los giros me llegan desde el otro lado
Son vuelos calientes por todos los barrios
Par de mamis chulas desde RD (Rep.Dominicana)
Ganando en 1min lo que tú en un mes
Si tiene cara guiri le hecho al Corte inglés
Pagando en efectivo porque ando Flex (drogado)
En esta liga soy pichichi soy un chulo putas sin pimp pimp

Si me la chupas te hago un lifteen

Me pierde su coño y el whiskey

Soy el hijo puta negro más cabron la abuela ya decía que tenía un don seguiré sonando fuera o en prisión y ahora estoy soñando hasta en "Ballamon"

Yo soy santero, que tu hablas ma' nigga

Yo ando desde fuera a llevarme la guita (dinero) x2

Sketch Cubain

Mulâtre santero "guajiro", je vis de ma tchatche,
Je ne cache ni ne vis ma ruine, et je ne me soucie pas de qui va la nettoyer.
Que je respire la blanche (cocaïne),
Que je vais y passer.

Célèbre dans la rue, pas sur les réseaux sociaux, je n'ai même pas WhatsApp.
Je me suis arrêté à la campagne,

Embarqué dans le "tana" (trance),
Je me suis branlé toute la semaine et je travaille quelques minutes le week-end.
(Embarqué dans le "tana") x3
Je ne m'occupe que de mes affaires, ma belle.

Je suis toujours fauché, mais je sens bon le fric.
Je veux tout, je ne sais pas si tu me comprends, si ça ne marche pas, j'investis dans la coke.

Je tire la moitié du chargeur, je suis le meilleur, ce n'est rien de personnel.
Tu auras beau payer, tu n'auras pas la même qualité (qualité des stupéfiants).
En train de couper le "sel" dans le temple, remue, remue doucement.
En train de couper des pinces avec du "plâtre", ils dépensent tout leur salaire pour ça.
Ces petites chattes ne connaissent rien à la rue, ma jolie.
Trop de temps pour raconter des mensonges,
Trop de temps avec ma putain de vie
Pour perdre mon temps avec une petite chatte.
Je double mon business, accroupi, en filtrant la graisse, brique violette, les virements arrivent de l'autre côté.
Ce sont des vols chauds dans tous les quartiers,
Quelques nanas canons de RD (République Dominicaine),
Je gagne en 1 minute ce que tu gagnes en un mois.
Si elle a une tête de touriste, je l'emmène au Corte Inglés.
Je paie en liquide parce que je suis Flex (défoncé).
Dans cette ligue, je suis pichichi, un mec cool, des putes sans chichi.

Si tu me suces, je te fais un lifting.

Elle perd la tête pour moi et le whisky.

Je suis le connard de nègre le plus badass, grand-mère disait déjà que j'avais un don, je continuerai à rapper dehors ou en prison, et maintenant je rêve même à "Ballamon".

Je suis santero, qu'est-ce que tu racontes, mon pote?

Je viens de l'extérieur pour prendre le magot (argent) x2