Lyrics and translation Cyrille Aimée - Estrellitas y Duendes

Estrellitas y Duendes

Viviré en tu recuerdo
Como un simple aguacero
De estrellitas y duendes
Vagaré por tu vientre
Mordiendo cada ilusión

Vivirás en mis sueños
Como tinta indeleble
Como mancha de acero
No se olvida el idioma
Cuando dos hacen amor

Me tosté en tus mejillas
Como el sol en la tarde
Se desgarra mi cuerpo
Y no vivo un segundo
Para decirte que sin ti muero

Me quedé en tus pupilas mi bien
Ya no cierro los ojos
Me tiré a los más hondo
Y me ahogo en los mares
De tu partida, de tu partida

Andaré sin saberlo
Calzaré de tu cuerpo
Como huellas en hierro
Comeré lo que sobre
Dentro de tu corazón

Y seré un mar desierto
Una frase silente
La elegía de un beso
Un planeta de celos
Esculpiendo una canción

Me tosté en tus mejillas
Como el sol en la tarde
Se desgarra mi cuerpo
Y no vivo un segundo
Para decirte que sin ti muero

Me quedé en tus pupilas mi bien
Ya no cierro los ojos
Me tiré a los más hondo
Y me ahogo en los mares
De tu partida, de tu partida

Estrellitas y Duendes

Je vivrai dans ton souvenir
Comme une simple averse
D'étoiles et de lutins
Je vais errer dans ton ventre
Mordant chaque illusion

Tu vivras dans mes rêves
Comme de l'encre indélébile
Comme une tache d'acier
On n'oublie pas la langue
Quand deux font l'amour

Je me suis grillée sur tes joues
Comme le soleil dans l'après-midi
Mon corps se déchire
Et je ne vis pas une seconde
Pour te dire que sans toi, je meurs

Je suis restée dans tes pupilles, mon bien
Je ne ferme plus les yeux
Je me suis jetée au plus profond
Et je me noie dans les mers
De ton départ, de ton départ

Je vais marcher sans le savoir
Je vais chausser ton corps
Comme des empreintes sur le fer
Je vais manger ce qui reste
Dans ton cœur

Et je serai une mer désertique
Une phrase silencieuse
L'élégie d'un baiser
Une planète de jalousie
Sculptant une chanson

Je me suis grillée sur tes joues
Comme le soleil dans l'après-midi
Mon corps se déchire
Et je ne vis pas une seconde
Pour te dire que sans toi, je meurs

Je suis restée dans tes pupilles, mon bien
Je ne ferme plus les yeux
Je me suis jetée au plus profond
Et je me noie dans les mers
De ton départ, de ton départ