Lyrics and translation D-Double - Stand Up

Stand Up

Millie of een ton, je moet minstens op ruggen zijn.
Dit is 2014, welkom in de struggeltijd.
Heel m'n leven laksida's wanneer komt die geluk naar mij.
Ik wil een klapper slaan dus gooi die ganda en wat guns op mij.
Er is een verschil dus rijkdom en gelukkig zijn, en ook tussen een strep bezitten en werkelijk schutter zijn.
Loop rond met de vraag; hoe raak ik Rutte en Wilders kwijt, ik zweer ik zet rwina als ze fucken met het drugsbeleid.
Ik zweer het ik wordt agressief, ben ik langer dan een week broke wordt ik een fucking dief.
Blauwe brieven in m'n bus, postbode geklapt a vriend.
Beef met de belastingdienst, ze willen me niet balling zien.
En die shit is niet van gister man, was vroeger zo en nu ook; een visceuze cirkelman.
We maken keuzes, wat is jouwne boy wat wil je dan?
Die bijbel in je rechter, of die strep in je linkerhand.

Stand up for je block clack self nigga, nigga Stand up for je block clack self. (Motherfucker stand up)
I dont need your block clack help cause I stand up for my block clack self.
Stand up for your block clack self, nigga stand up for your block clack self (Motherfucker stand up)

I dont need your block clack help cause I stand up for my block clack self.

Dag des oordeels sta ik vooraan, ik ben een survivor ben gevallen maar moet doorgaan. Die dubbel hij is spijker, ookal zit hij voor een moordzaak. Kan geen kippen wifen, zeg ze meestal ook bij voorbaat.
Mijn young goons is op saaf, pakt doezoes uit een sportzaak. Hij draait als een circulere ciculatie, noem het een orkaan.
Staats eigen schuld, al die criminelen op straat.
Waar criminaliteit heerst, is armoede de oorzaak.
(BENG)
Weer een young nigger dood voor niks

Debout

Tu dois avoir au moins une tonne sur le dos, mon amie.
C'est 2014, bienvenue dans la période difficile.
Toute ma vie, je me demande quand ce bonheur me trouvera.
Je veux frapper fort, alors lance-moi cette gandja et quelques armes.
Il y a une différence entre la richesse et le bonheur, et aussi entre posséder un flingue et être vraiment un tireur.
Je me promène avec cette question : comment me débarrasser de Rutte et Wilders, je jure que je vais mettre le feu si jamais ils foutent en l’air la politique sur la drogue.
Je te le jure, je deviens agressif, si je reste fauché plus d’une semaine, je deviens un putain de voleur.
Des lettres bleues dans ma boîte aux lettres, j’ai frappé le facteur, mon ami.
Des ennuis avec le fisc, ils ne veulent pas me voir partir en exil.
Et cette merde ne date pas d’hier, c’était comme ça avant et c’est toujours comme ça : un cercle vicieux.
On fait des choix, quel est le tien, mec ? Qu’est-ce que tu veux ?
Cette Bible dans ta main droite, ou ce flingue dans ta main gauche.

Debout pour ton quartier, mon pote, lève-toi pour ton quartier, mon pote. (Salaud, lève-toi !)
Je n’ai pas besoin de ton aide, car je me lève pour mon quartier.
Debout pour ton quartier, mon pote, lève-toi pour ton quartier, mon pote. (Salaud, lève-toi !)

Je n’ai pas besoin de ton aide, car je me lève pour mon quartier.

Le jour du jugement, je serai en première ligne, je suis un survivant, je suis tombé, mais je dois continuer. Double est un dur, même s’il est devant un tribunal pour meurtre. Pas de femmes faciles, il les met en garde dès le début.
Mes jeunes bandits sont en mode "saaf", ils volent des trucs dans un magasin de sport. Ça tourne comme une circulation sanguine, appelle ça un ouragan.
La faute à l’État, tous ces criminels dans la rue.
Où la criminalité sévit, la pauvreté est la cause.
(BANG)
Encore un jeune noir mort pour rien.