Lyrics and translation David Bowie - Cygnet Committee (2015 Remastered Version)

Cygnet Committee (2015 Remastered Version)

I bless you madly,
Sadly as I tie my shoes
I love you badly,
Just in time, at times, I guess
Because of you I need to rest
Because it's you
That sets the test

So much has gone
And little is new
And as the sparrow sings
Dawn for
Someone else to hear
The Thinker sits alone growing older
And so bitter

"I gave Them life
I gave Them all
They drained my very soul
...dry
I crushed my heart
To ease Their pains
No thought for me remains there
Nothing can They spare
What of me?
Who praised Their efforts
To be free?
Words of strength and care
And sympathy
I opened doors
That would have blocked Their way
I braved Their cause to guide,
For little pay

I ravaged at my finance just for Those
Those whose claims were steeped in peace, tranquility
Those who said a new world, new ways ever free
Those whose promises stretched in hope and grace for me"

I bless you madly,
Sadly as I tie my shoes
I love you badly, just in time,
At times, I guess
Because of you I need to rest, oh yes
Because it's you
That sets the test

So much has gone
And little is new
And as the sunrise stream
Flickers on me,
My friends talk
Of glory, untold dream, where all is God and God is just a word

"We had a friend, a talking man
Who spoke of many powers that he had
Not of the best of men, but Ours

We used him
We let him use his powers
We let him fill Our needs
Now We are strong

And the road is coming to its end
Now the damned have no time to make amends
No purse of token fortune stands in Our way
The silent guns of love
Will blast the sky
We broke the ruptured structure built of age
Our weapons were the tongues of crying rage

Where money stood
We planted seeds of rebirth
And stabbed the backs of fathers
Sons of dirt

Infiltrated business cesspools
Hating through Our sleeves
Yea, and We slit the Catholic throat
Stoned the poor
On slogans such as

'Wish You Could Hear'
'Love Is All We Need'
'Kick Out The Jams'
'Kick Out Your Mother'
'Cut Up Your Friend'
'Screw Up Your Brother or He'll Get You In the End'

And We Know the Flag of Love is from Above
And We Can Force You to Be Free
And We Can Force You to Believe"

And I close my eyes and tighten up my brain
For I once read a book in which the lovers were slain
For they knew not the words of the Free States' refrain
It said:
"I believe in the Power of Good
I Believe in the State of Love
I Will Fight For the Right to be Right
I Will Kill for the Good of the Fight for the Right to be Right"

And I open my eyes to look around
And I see a child laid slain
On the ground
As a love machine lumbers through desolation rows
Ploughing down man, woman, listening to its command
But not hearing anymore
Not hearing anymore
Just the shrieks from the old rich

And I Want to Believe
In the madness that calls 'Now'
And I want to Believe
That a light's shining through
Somehow

And I Want to Believe
And You Want to Believe
And We Want to Believe
And We Want to Live
Oh, We Want to Live

We Want to Live
I want to live

Le Comité des Cygnes (Version Remastered 2015)

Je te bénis follement,
Tristement, en nouant mes chaussures
Je t'aime mal,
Juste à temps, parfois, je suppose
À cause de toi, j'ai besoin de me reposer
Parce que c'est toi
Qui me met à l'épreuve

Tant de choses ont disparu
Et si peu de choses sont nouvelles
Et comme le moineau chante
L'aube pour
Que quelqu'un d'autre entende
Le Penseur est assis seul, vieillissant
Et si amer

"Je Leur ai donné la vie
Je Leur ai tout donné
Ils ont drainé mon âme
... jusqu'à la dernière goutte
J'ai brisé mon cœur
Pour soulager Leurs peines
Aucune pensée pour moi ne subsiste là
Rien qu'ils ne puissent épargner
Et moi ?
Qui a loué Leurs efforts
Pour être libres ?
Des mots de force et de sollicitude
Et de sympathie
J'ai ouvert des portes
Qui auraient bloqué Leur chemin
J'ai bravé Leur cause pour les guider,
Pour une maigre récompense

J'ai ravagé mes finances juste pour Ceux
Ceux dont les revendications étaient ancrées dans la paix, la tranquillité
Ceux qui ont parlé d'un nouveau monde, de nouvelles voies toujours libres
Ceux dont les promesses s'étendaient dans l'espoir et la grâce pour moi"

Je te bénis follement,
Tristement, en nouant mes chaussures
Je t'aime mal, juste à temps,
Parfois, je suppose
À cause de toi, j'ai besoin de me reposer, oh oui
Parce que c'est toi
Qui me met à l'épreuve

Tant de choses ont disparu
Et si peu de choses sont nouvelles
Et comme le soleil levant ruisselle
Brille sur moi,
Mes amis parlent
De gloire, de rêve indicible, où tout est Dieu et Dieu n'est qu'un mot

"Nous avions un ami, un homme qui parlait
Qui parlait de nombreux pouvoirs qu'il avait
Pas des meilleurs hommes, mais le Nôtre

Nous l'avons utilisé
Nous l'avons laissé utiliser ses pouvoirs
Nous l'avons laissé combler Nos besoins
Maintenant, nous sommes forts

Et la route touche à sa fin
Maintenant, les damnés n'ont pas le temps de faire amende honorable
Aucune bourse de fortune symbolique ne se dresse sur Notre chemin
Les armes silencieuses de l'amour
Vont faire exploser le ciel
Nous avons brisé la structure rompue construite par le temps
Nos armes étaient les langues de la rage qui pleure

Là où l'argent se tenait
Nous avons planté des graines de renaissance
Et poignardé les pères dans le dos
Fils de la boue

Infiltrés dans les cloaques du business
Haïssant à travers Nos manches
Oui, et Nous avons tranché la gorge du Catholique
Lapidé les pauvres
Sur des slogans tels que

'Si seulement tu pouvais entendre'
'L'amour est tout ce dont nous avons besoin'
'Envoie la purée'
'Vire ta mère'
'Découpe ton ami'
'Baise ton frère ou il te détruira à la fin'

Et Nous savons que le Drapeau de l'Amour vient d'En Haut
Et Nous pouvons Vous forcer à être libres
Et Nous pouvons Vous forcer à croire"

Et je ferme les yeux et je serre mon cerveau
Car j'ai lu un jour un livre dans lequel les amants ont été tués
Car ils ne connaissaient pas les paroles du refrain des États Libres
Il disait :
"Je crois au Pouvoir du Bien
Je crois à l'État d'Amour
Je me battrai pour le Droit d'avoir Raison
Je tuerai pour le Bien du Combat pour le Droit d'avoir Raison"

Et j'ouvre les yeux pour regarder autour de moi
Et je vois un enfant gisant sur le sol,
Tué
Alors qu'une machine amoureuse traverse des rangées de désolation
Écrasant hommes, femmes, écoutant ses ordres
Mais n'entendant plus rien
N'entendant plus rien
Juste les cris des vieux riches

Et je veux croire
En la folie qui appelle 'Maintenant'
Et je veux croire
Que la lumière brille à travers
D'une manière ou d'une autre

Et je veux croire
Et tu veux croire
Et nous voulons croire
Et nous voulons vivre
Oh, nous voulons vivre

Nous voulons vivre
Je veux vivre