Lyrics and translation Dimmu Borgir - The Maelstrom Mephisto

The Maelstrom Mephisto

Ride the vortex winds with the beast inside
Cast down all memories from a past and future world
The cynic icons and the cryptic writings
As a picturesque creation in force and spirit
Against their reason and will, it is time
Give darkness it′s passion plea

The venomous tongue
The inevitable poison
Paralyze the angels
Freeze the forgiven
Baptize in fire
Unleash the devil at heart

Unleash the maelstrom mephisto

(Chorus:)
So sinner, mourn well
Make all the swans suffer in hell
The maelstrom of the mephisto left the trace
To revel and feast in undelivered grace

Pledged to judgmental arrogance in
Drawn principles of ignorant falsehood
To comprehend that the sin of life is life itself
A tyranny in torment, an inner-sanctum stealing sleep

In the dimness surrounding the towers of the castle
Where the ravens spread their wings out wide
Dwell in depths of the darker self at any shore of infinity
And watch the relentless paint the soil black
What is being formed echoes throughout eternity
As the painter chooses color no more

Hold your shadows close when the comedy is over
As the days of mourning seem to be the days of joy
Fragments fell from the sky in order to penetrate the eyes
A convict wallowing in a lifetime of lies: lies

Le Maelström Méphisto

Chevauche les vents du vortex avec la bête qui sommeille en toi
Efface tous les souvenirs d'un monde passé et futur
Les icônes cyniques et les écrits cryptiques
Comme une création pittoresque en force et en esprit
Contre leur raison et leur volonté, il est temps
Donne à l'obscurité sa passionnante supplication

La langue venimeuse
Le poison inévitable
Paralyser les anges
Geler les pardonnés
Baptiser dans le feu
Déchaîner le diable au cœur

Déchaîne le maelström méphisto

(Refrain:)
Alors, pécheresse, pleure bien
Fais souffrir tous les cygnes en enfer
Le maelström du méphisto a laissé sa trace
Pour se délecter et se régaler de la grâce non délivrée

Engagé dans une arrogance de jugement dans
Des principes tirés de fausses vérités ignorantes
Pour comprendre que le péché de la vie est la vie elle-même
Une tyrannie dans le tourment, un sanctuaire intérieur qui vole le sommeil

Dans la pénombre qui entoure les tours du château
Où les corbeaux déploient leurs ailes
Habite les profondeurs de ton moi le plus sombre sur toute rive de l'infini
Et regarde l'impitoyable peindre la terre en noir
Ce qui est en train de se former résonne à travers l'éternité
Alors que le peintre ne choisit plus de couleur

Serre tes ombres contre toi quand la comédie est finie
Alors que les jours de deuil semblent être les jours de joie
Des fragments tombèrent du ciel afin de pénétrer les yeux
Un condamné se vautrait dans une vie de mensonges : mensonges