Campanadas Del Reloj - El Apomeño De Sinaloa translation in French

Campanadas Del Reloj

Campanadas del reloj, de mi trizte y cruel prision,
Como arrancan los suspiros de mi pobre corazon.
Cuando el juez me sentencio, nunca se me ba a olvidar.
Lo que mi madre lloraba, por mirame en el penal.
Noches llenas de lamento, de arrepentimiento, y desolacion
Se oyen los alertas tristes, recordando al hombre, que esta en la prision.
Para el preso no hay amor, y tampoco compresion
Todo el mundo lo señala, como cosa sin valor.
Al que dan su libertad, aunque no vuelva al penal
Siempre le queda la pena, de haber sido criminal.
Seldas de cemento y grava, donde el hombre sufre, por violar la ley
Juro que si salgo libre, a rrayar tus muros nunca volvere,,
Para el preso no hay amor, y tampoco compresion
Todo el mundo lo señala, como cosa sin valor.
Al que dan su libertad, aunque no vuelva al penal
Siempre le queda la pena, de haber sido criminal.
Seldas de cemento y grava, donde el hombre sufre, por violar la ley
Juro que si salgo libre, a rrayar tus muros nunca volvere,,

Les cloches de l'horloge

Les cloches de l'horloge, de ma prison triste et cruelle,
Comme elles arrachent les soupirs de mon pauvre cœur.
Lorsque le juge m'a condamné, je ne l'oublierai jamais.
Ce que ma mère pleurait, pour me voir en prison.
Des nuits pleines de lamentations, de remords et de désolation
On entend les alertes tristes, rappelant l'homme qui est en prison.
Pour le prisonnier, il n'y a pas d'amour, et pas non plus de compréhension
Tout le monde le désigne, comme une chose sans valeur.
Celui qui retrouve sa liberté, même s'il ne retourne pas en prison
Garde toujours la peine, d'avoir été un criminel.
Des cellules de ciment et de gravier, où l'homme souffre, pour avoir violé la loi
Je jure que si je suis libre, je ne reviendrai jamais rayer tes murs,
Pour le prisonnier, il n'y a pas d'amour, et pas non plus de compréhension
Tout le monde le désigne, comme une chose sans valeur.
Celui qui retrouve sa liberté, même s'il ne retourne pas en prison
Garde toujours la peine, d'avoir été un criminel.
Des cellules de ciment et de gravier, où l'homme souffre, pour avoir violé la loi
Je jure que si je suis libre, je ne reviendrai jamais rayer tes murs,