Lyrics and translation Elvis Costello - A Town Called a Big Nothing

A Town Called a Big Nothing

Big nothing.

He stood in the road outside of town with a broken clockwork toy in
His hand: A graveyard for childish dreams in his palm; a broken lifeline.

Big nothing.

The mechanical amusement sputtered to life in his fist. As he clenched, it
Whirred and died again. It was a cowboy who drew his gun, but the
Pistol was welded to the holster by age and careless children, so it
Struggled and strained and it unwound his own spring.

Big nothing.

He didn′t need tattoos to show where he had been and who he had loved. It
Was the same thing that men had cried for; that women had dyed their hair
For. The cellophane illusion of a starry sky stretched over an open sore.

Big nothing.

He thought about his lost daughter: the way her eyes would alight at the
Greedy circus barker's blackmail song; how he wanted to smash her skull
When she parroted back, ′tell mommy; tell poppy; you need this little
Dolly.'

Big nothing. (x2)

The smoky voice of the petaled girl woke him long enough. There was too
Much light in the room, so he unscrewed the bulb. She took him to bed like
An adopted dog.

Big nothing.

She lit sickly incense, as he tried to tell if the resemblance was pure
And coincidental. He unleashed his grip on the toy, all it meant to him,
And it wound down forever.

Big nothing.

He woke up in a sweat. The next day, with her smile still painted on his
Mouth, he walked out of a town called Big Nothing.

Big nothing. (repeat until fade)

Une ville appelée Grand Rien

Grand rien.

Il se tenait sur la route à l'extérieur de la ville avec un jouet mécanique cassé dans
Sa main : un cimetière pour les rêves d'enfants dans sa paume ; une ligne de vie brisée.

Grand rien.

L'amusement mécanique a crachoté dans son poing. Alors qu'il serrait, il
Tournait et mourait à nouveau. C'était un cow-boy qui tirait son arme, mais le
Pistolet était soudé au holster par l'âge et les enfants négligeants, donc il
Lutta et se tendit et il détendit son propre ressort.

Grand rien.

Il n'avait pas besoin de tatouages pour montrer où il avait été et qui il avait aimé. C'était
La même chose pour laquelle les hommes avaient pleuré ; pour laquelle les femmes s'étaient teint les cheveux
Pour. L'illusion en cellophane d'un ciel étoilé tendu au-dessus d'une plaie ouverte.

Grand rien.

Il a pensé à sa fille perdue : la façon dont ses yeux s'allumaient au
Chanter de chantage du barnum de cirque gourmand ; comment il voulait lui écraser le crâne
Quand elle répétait, ′dis à maman ; dis à papa ; tu as besoin de cette petite
Dolly.'

Grand rien. (x2)

La voix enfumée de la fille aux pétales l'a réveillé assez longtemps. Il y avait trop
De lumière dans la pièce, alors il a dévissé l'ampoule. Elle l'a emmené au lit comme
Un chien adopté.

Grand rien.

Elle a allumé de l'encens maladif, alors qu'il essayait de dire si la ressemblance était pure
Et accidentel. Il a lâché prise sur le jouet, tout ce que cela signifiait pour lui,
Et il s'est dévissé à jamais.

Grand rien.

Il s'est réveillé en sueur. Le lendemain, avec son sourire toujours peint sur son
Bouche, il est sorti d'une ville appelée Grand Rien.

Grand rien. (répéter jusqu'à la disparition)