Lyrics and translation Emily Jane White - The Wolves

The Wolves

When you were thrown, to the wolves
I tried to save you, but my heart was in repose
And please take with you, this piece of fragile gold
For my jewels they lay here on the altar
Safely hidden from your rapture
When they drove the stake into you
I saw your body it was hollow through and through
And I don't need faith to know that I can still see you
For I died with you in this rapture
Our bodies slain here on the altar
Copy paste is a sin, always on the run is better
When you were small
They wrote lines on the wall
That said you're nothing at all
And the capture of your dreams
And the rapture and the scream
And your body's still next to me
When you died, everyone knew your name
Your body and face carved out in a deliberate frame
And we all surrendered to this deep impending shame
For we died with you in this rapture, our bodies slain here on the altar
When you were small
They wrote lines on the wall
That said you're nothing at all
And the capture of your dream
And the rapture and the scream
And your body's still next to me

Les loups

Quand tu as été jetée aux loups
J'ai essayé de te sauver, mais mon cœur était en repos
Et s'il te plaît, emporte avec toi, ce morceau d'or fragile
Car mes joyaux reposent ici sur l'autel
Soigneusement cachés de ta frénésie
Quand ils ont planté le pieu en toi
J'ai vu ton corps, il était creux de part en part
Et je n'ai pas besoin de foi pour savoir que je peux encore te voir
Car je suis morte avec toi dans cette frénésie
Nos corps gisent ici sur l'autel
Copier-coller est un péché, il est toujours préférable de courir
Quand tu étais petite
Ils ont écrit des lignes sur le mur
Qui disaient que tu n'étais rien du tout
Et la capture de tes rêves
Et la frénésie et le cri
Et ton corps est toujours à côté de moi
Lorsque tu es morte, tout le monde connaissait ton nom
Ton corps et ton visage sculptés dans un cadre délibéré
Et nous nous sommes tous abandonnés à cette profonde honte imminente
Car nous sommes morts avec toi dans cette frénésie, nos corps gisent ici sur l'autel
Quand tu étais petite
Ils ont écrit des lignes sur le mur
Qui disaient que tu n'étais rien du tout
Et la capture de ton rêve
Et la frénésie et le cri
Et ton corps est toujours à côté de moi