Lyrics and translation Fog Lake - Talk

Talk

You know i hold it against me
Come back i know you remember me
They say i was always crazy
You know it′s all i talk about

Just alone as i'll ever be
Come back i know you hate me
I′d dream but i can't fall asleep
You know it's all i think about

Distance can be such a catalyst
I′ve been afraid of abandonment
My love just never felt adequate
You know it′s all i've got now

I won′t forget what you said that day
Don't lie i know there′s not anything
But i spent centuries waiting
You know it's all i sought out

And on that birthday you never had
Black and white roses on your neck
Wish there was something i could have said
To turn back time

Your friends shrugged it off when they found out
You spent your life in a haunted house
But nobody cares
What stalks you now

Couldn′t extinguish my ailment
Drinking to feel compassionate
Maybe these pieces will never fit
You know it's all i talk about

Parler

Tu sais que je te le reproche
Reviens, je sais que tu te souviens de moi
Ils disaient que j'étais toujours fou
Tu sais que c'est tout ce dont je parle

Tout seul comme je le serai toujours
Reviens, je sais que tu me détestes
Je rêvais, mais je ne pouvais pas m'endormir
Tu sais que c'est tout à quoi je pense

La distance peut être un tel catalyseur
J'ai toujours eu peur de l'abandon
Mon amour ne s'est jamais senti adéquat
Tu sais que c'est tout ce que j'ai maintenant

Je n'oublierai jamais ce que tu as dit ce jour-là
Ne mens pas, je sais qu'il n'y a rien
Mais j'ai passé des siècles à attendre
Tu sais que c'est tout ce que j'ai recherché

Et pour cet anniversaire que tu n'as jamais eu
Des roses noires et blanches sur ton cou
J'aurais aimé pouvoir dire quelque chose
Pour revenir en arrière

Tes amis ont haussé les épaules quand ils l'ont appris
Tu as passé ta vie dans une maison hantée
Mais personne ne s'en soucie
Ce qui te hante maintenant

Je n'ai pas pu éteindre mon mal
Boire pour se sentir compatissant
Peut-être que ces morceaux ne s'emboîteront jamais
Tu sais que c'est tout ce dont je parle