Lyrics and translation Frankie Laine - Call of the Wild (Remastered)

Call of the Wild (Remastered)

My mother was gypsy, my father a wayfarin' man
My home was the river, the mountains and warm desert sand
The roar of a train, or a mad raging sea is
The call of the wild and it's callin' to me
My restless heart keeps repeatin' I have to be free
There's memories to haunt me and torture my wild savage soul
The heat in my veins like the beating of drums makes me roar
You want me to stay but I know I must roam
For the call of the wild keeps a-callin' me on
Your kisses are sweet but I know that I have to be free
No woman can tame me or chain me or tie me for life
There's oft times a sweetheart but never, oh never a wife
Born to be happy but born to be free
I never look back for I know it must be
It's the call of the wild and I know that it's callin' to me
There are strange foreign lands that keep callin', yes callin' to me
To the wide open spaces I know that I'm destined to be
A slave to a voice much stronger than a hand
That can bring out the beast deep in my kind of man
It's the call of the wild and I'll have to obey, to obey
To obey it's command.

L'appel de la nature (Remasterisé)

Ma mère était une gitane, mon père un homme errant
Ma maison était la rivière, les montagnes et le sable chaud du désert
Le rugissement d'un train, ou une mer déchaînée, c'est
L'appel de la nature et il m'appelle
Mon cœur inquiet répète sans cesse que je dois être libre
Des souvenirs me hantent et torturent mon âme sauvage
La chaleur dans mes veines, comme le battement des tambours, me fait rugir
Tu veux que je reste, mais je sais que je dois errer
Car l'appel de la nature continue de m'appeler
Tes baisers sont doux, mais je sais que je dois être libre
Aucune femme ne peut m'apprivoiser, m'enchaîner ou me lier à la vie
Il y a souvent une chérie, mais jamais, oh jamais une femme
Né pour être heureux, mais né pour être libre
Je ne regarde jamais en arrière, car je sais que cela doit être
C'est l'appel de la nature et je sais qu'il m'appelle
Il y a des terres étrangères étranges qui continuent d'appeler, oui, qui m'appellent
Vers les vastes espaces ouverts, je sais que je suis destiné à être
Un esclave d'une voix bien plus forte qu'une main
Qui peut faire ressortir la bête au fond de mon genre d'homme
C'est l'appel de la nature et je devrai obéir, obéir
Obéir à son commandement.