Lyrics and translation Grateful Dead - The Other One [2] [Live at Hollywood Palladium, Hollywood. CA, August 6, 1971]

The Other One [2] [Live at Hollywood Palladium, Hollywood. CA, August 6, 1971]

The Other One
The other day they waited, the sky was dark and faded,
Solemnly they stated, "He has to die, you know he has to die."
All the children learnin′, from books that they were burnin',
Every leaf was turnin′; to watch him die, you know he had to die.
The summer sun looked down on him, his mother could but frown on him,
And all the others sound on him, but it doesn't seem to matter.
And when the day had ended, with rainbow colors blended,
His mind remained unbended, he had to die, you know he had to die.
Spanish lady comes to me, she lays on me this roes.
It rainbow spirals round and round it trembles and explodes.
It left a smoking crater of my mind I like to blow away.
But the heat came 'round and busted me for smiling on a cloudy day.
Comin′, comin′, comin' around, comin′, around,
Comin', around, in a circle
Comin′, comin', comin′ around, comin' around, in a circle,
Comin', comin′, comin′ around, comin' in a circle.
Skippin′ through the lily fields I came across an empty space,
It trembled and exploded, left a bus stop in it's place.
The bus came by and I got on, that′s when it all began,
There was cowboy Neal at the wheel of the bus to never ever land.
Comin', comin′, comin' around, comin', around,
Comin′, around, in a circle
Comin′, comin', comin′ around, comin' around, in a circle,
Comin′, comin', comin′ around, comin' in a circle.
And when the day had ended, with rainbow colors blended,
Their minds remained unbended,
He had to die, Oh, you know he had to die.

L'autre [2] [Live au Hollywood Palladium, Hollywood. CA, 6 août 1971]

L'autre
L'autre jour, ils ont attendu, le ciel était sombre et fané,
Ils ont déclaré solennellement : "Il doit mourir, tu sais qu'il doit mourir."
Tous les enfants apprenaient, des livres qu'ils brûlaient,
Chaque feuille tournait ; pour le voir mourir, tu sais qu'il devait mourir.
Le soleil d'été l'a regardé, sa mère ne pouvait que froncer les sourcils,
Et tous les autres sonnent sur lui, mais cela ne semble pas avoir d'importance.
Et quand le jour a pris fin, avec des couleurs arc-en-ciel mélangées,
Son esprit est resté inflexible, il devait mourir, tu sais qu'il devait mourir.
Une dame espagnole vient à moi, elle me pose ces roses.
C'est une spirale arc-en-ciel qui tourne et tourne, elle tremble et explose.
Elle a laissé un cratère fumant dans mon esprit, j'aime le faire exploser.
Mais la chaleur est arrivée et m'a attrapé pour avoir souri un jour nuageux.
Vient, vient, vient autour, vient, autour,
Vient, autour, en cercle
Vient, vient, vient autour, vient, autour, en cercle,
Vient, vient, vient autour, vient en cercle.
En sautant à travers les champs de lys, je suis tombé sur un espace vide,
Il a tremblé et a explosé, laissant un arrêt de bus à sa place.
Le bus est passé et je suis monté, c'est là que tout a commencé,
Il y avait le cow-boy Neal au volant du bus qui ne devait jamais atterrir.
Vient, vient, vient autour, vient, autour,
Vient, autour, en cercle
Vient, vient, vient autour, vient, autour, en cercle,
Vient, vient, vient autour, vient en cercle.
Et quand le jour a pris fin, avec des couleurs arc-en-ciel mélangées,
Leurs esprits sont restés inflexibles,
Il devait mourir, oh, tu sais qu'il devait mourir.