Lyrics and translation Immortal Technique - Caught in a Hustle

Caught in a Hustle

(Verse 1)
They say the odds against me, are crooked and impossible
Like I was born with a hole in my heart is an obstacle
I was left to die by the doctors, in the Children's Hospital
But I never lose hope, success is psychological
The world is volatile and the street is my education
Shaping the nation, like the blueprint of a mason
While Shawshank record deals get you raped on occasion
So I'm focused on my economic situation
I'm like the little kids on TV that dig through the trash
I hustle regardless of the way you talk shit and laugh
A lot of niggaz drop science but they dont know the math
Because their mind is narrower than the righteous path
It's funny how on the block niggaz will kill you for cash
But never raise the gun and cry out "Freedom at last"
The cold war is over but the world is still gettin colder
Atlas walking through the projects with the hood on my shoulders
I would like to raise my children to grow to be soldiers
But then the general, would decide when their life would be over
So I work hard until my personality split
Like the black panthers, into the bloods and the crips
They said I would never be shit, but now I sit and reminice
Like Yeshua ben Yusef flippin through Genesis
Ignorance is venemous, and it murders the soul
Spreading like a virus running rampant, but out of control
(Hook)
So if I should ever fall and get caught in a hustle
Let them know that I died while I fought in a struggle
From the hoodrats to the rich kids lost in a bubble
Spray painting on the streets and at the subway tunnels
Write it down and remember that we never gave in
The mind of a child is where the revolution begins
So if the solution has never been to look in yourself
How is it that you expect to find it anywhere else
(Verse 2)
Immortal Technique in the streets, back on the hustle
Cause three strikes will get you life for stuffin cracks in a duffle
Upstate behind steel gates intact in the scuffle
Razor blades stuck on the side of pencils, hacked to your muscle
But the emptiness is what bleeds you to death when it cuts you
And its the lawyers, not the inmates scheming to fuck you
Trying to fight the system from inside, eventually corrupts you
But thats what you get when you put a corporation above you
And it's the people that love you that seem to hurt you the most
Sometimes when they die you find yourself cursing their ghost
But you make success, nobody delivers your fate
Sometimes you give and you take
Since prehistoric vertibrates, crawled out of the lakes
And thats the truth about life
Or to do it to ghetto and your car, rims, and your ice
Because even though we survived through the struggle that made us
We still look at ourselves through the eyes of people that hate us
But I'm going to make it regardless of the trumped up charges
And semi-automatic barrages, that empty the cartridge
Post-traumatically scar kids that try to be brave
Because niggaz backstab each other just to try to get paid
Turn cannibal like nights during the crusades
Afraid of responsibility; addicted to greed
Beating their girls purposefully losing a seed
As if we were bound to the destiny we used to recieve
(Hook)
I used to wonder (I used to wonder) about people who don't believe in themselves
But then I saw the way that they portrayed us to everyone else
That cursed us, then only see the worst in ourselves
Blind to the fact the whole time we were hurting ourselves
I used to wonder (I used to wonder) about people who don't believe in themselves
But then I saw the way that they portrayed us to everyone else
That cursed us, then only see the worst in ourselves
Blind to the fact the whole time we were hurting ourselves
I used to wonder {*echo*}

Pris dans une galère

(Couplet 1)
Ils disent que les chances sont contre moi, faussées et impossibles,
Comme si j'étais né avec un trou dans le cœur, un obstacle,
Les médecins m'ont laissé mourir à l'hôpital pour enfants,
Mais je ne perds jamais espoir, le succès est psychologique.
Le monde est volatile et la rue est mon éducation,
Façonnant la nation, comme le plan d'un maçon,
Alors que les contrats de disques de Shawshank te font violer à l'occasion,
Je me concentre donc sur ma situation économique.
Je suis comme ces enfants à la télé qui fouillent dans les poubelles,
Je me débrouille, peu importe comment tu me critiques et ris,
Beaucoup de mecs balancent des connaissances mais ne connaissent pas les maths,
Parce que leur esprit est plus étroit que le droit chemin.
C'est marrant comme dans le quartier, les mecs te tueraient pour de l'argent,
Mais ne lèveraient jamais leur flingue en criant "Enfin la liberté !".
La guerre froide est finie, mais le monde se refroidit encore plus,
Atlas traversant les projets avec le poids du ghetto sur mes épaules.
J'aimerais élever mes enfants pour qu'ils deviennent des soldats,
Mais c'est le général qui déciderait de la fin de leur vie.
Alors je travaille dur jusqu'à ce que ma personnalité se divise,
Comme les Black Panthers, entre les Bloods et les Crips.
Ils disaient que je ne serais jamais rien, mais maintenant je suis assis et je me remémore,
Comme Yeshua ben Yusef feuilletant la Genèse.
L'ignorance est venimeuse, elle assassine l'âme,
Se propageant comme un virus, galopant, mais hors de contrôle.
(Refrain)
Alors si jamais je devais tomber et me retrouver pris dans une galère,
Qu'ils sachent que je suis mort en combattant dans une lutte,
Des racailles des quartiers aux gosses de riches perdus dans leur bulle,
Bombant de la peinture dans les rues et les tunnels du métro.
Notez-le et rappelez-vous que nous n'avons jamais cédé,
L'esprit d'un enfant est le berceau de la révolution.
Alors si la solution n'a jamais été de regarder en toi,
Comment peux-tu espérer la trouver ailleurs ?
(Couplet 2)
Immortal Technique dans la rue, de retour à la débrouille,
Car trois fautes et c'est la prison à vie pour avoir planqué du crack dans un sac.
Là-haut, derrière les barreaux d'acier, pris dans la bagarre,
Lames de rasoir collées sur des crayons, plantées dans tes muscles.
Mais c'est le vide qui te saigne à mort quand il te coupe,
Et ce sont les avocats, pas les détenus, qui complotent pour te baiser.
Essayer de combattre le système de l'intérieur finit par te corrompre,
Mais c'est ce qui arrive quand tu places une corporation au-dessus de toi.
Et ce sont les gens qui t'aiment qui semblent te faire le plus mal,
Parfois, quand ils meurent, tu te surprends à maudire leur fantôme.
Mais tu réussis, personne ne décide de ton destin,
Parfois tu donnes et tu prends.
Depuis que les vertébrés préhistoriques ont rampé hors des lacs,
Et c'est la vérité sur la vie.
Ou de le faire dans le ghetto, ta voiture, tes jantes et tes bijoux,
Parce que même si nous avons survécu à la lutte qui nous a forgés,
Nous nous regardons encore à travers les yeux de ceux qui nous détestent.
Mais je vais y arriver, malgré les accusations montées de toutes pièces
Et les barrages semi-automatiques qui vident les chargeurs,
Marquant à vie les enfants qui essaient d'être courageux.
Parce que les mecs se poignardent dans le dos juste pour essayer de se faire payer,
Deviennent cannibales comme les chevaliers pendant les croisades.
Effrayés par la responsabilité, accros à l'avidité,
Ils frappent leurs femmes, perdant volontairement un enfant,
Comme si nous étions liés au destin que nous recevions autrefois.
(Refrain)
Je me demandais (je me demandais) ce qu'il en était des gens qui ne croient pas en eux,
Puis j'ai vu comment ils nous présentaient aux autres,
Ceux qui nous ont maudits, pour ne voir que le pire en nous-mêmes,
Aveugles au fait que pendant tout ce temps, nous nous faisions du mal à nous-mêmes.
Je me demandais (je me demandais) ce qu'il en était des gens qui ne croient pas en eux,
Puis j'ai vu comment ils nous présentaient aux autres,
Ceux qui nous ont maudits, pour ne voir que le pire en nous-mêmes,
Aveugles au fait que pendant tout ce temps, nous nous faisions du mal à nous-mêmes.
Je me demandais {*écho*}