Lyrics and translation Iron & Wine - Me And Lazarus

Me And Lazarus

Me and Lazarus, we shoveled all the ashes out
Black bed linens blowing around
Back and forth and up and down
Oh whoa, whoa, guess I had nowhere else to go

Me and Lazarus kept bailing out that riverboat
Floating by the choir robes
Bobbing in the ebb and flow
Whoa, whoa, whoa, guess I had nowhere else to go

He's an emancipated punk and he can dance
But he's got a hole in the pocket of his pants
Must be a symptom of outstanding circumstances
Whoa, whoa, whoa-whoa

Me and Lazarus, we fed her with a baby spoon
Fever flowin' through the room
Far too long and way too soon
Oh whoa, whoa, guess I had nowhere else to go

Me and Lazarus, we pick up papa's white boy blues
Hand-me-downs and Sunday shoes
Never made the local news
Oh whoa, whoa, guess I had nowhere else to go

And I'm a liberated loser that can roll
But where my pocket was, I'm peeking through a hole
A couple second chances surely would console me
Whoa, whoa, whoa

Moi et Lazare

Moi et Lazare, on a ramassé toutes les cendres
Des draps noirs volaient partout
D'avant en arrière, de haut en bas
Oh ouais, ouais, je suppose que je n'avais nulle part où aller

Moi et Lazare, on n'arrêtait pas de vider ce bateau-rivière
Flotter près des robes de la chorale
Naviguer dans le flux et le reflux
Ouais, ouais, ouais, je suppose que je n'avais nulle part où aller

Il est un punk émancipé et il peut danser
Mais il a un trou dans la poche de son pantalon
Doit être un symptôme de circonstances exceptionnelles
Ouais, ouais, ouais-ouais

Moi et Lazare, on l'a nourrie avec une cuillère à bébé
La fièvre coulait dans la pièce
Trop longtemps et bien trop tôt
Oh ouais, ouais, je suppose que je n'avais nulle part où aller

Moi et Lazare, on reprend les blues de papa
Des vêtements de seconde main et des chaussures du dimanche
Jamais fait les nouvelles locales
Oh ouais, ouais, je suppose que je n'avais nulle part où aller

Et je suis un perdant libéré qui peut rouler
Mais là où était ma poche, je regarde à travers un trou
Une couple de secondes chances me consoleraient sûrement
Ouais, ouais, ouais