Lyrics and translation James Taylor - Anywhere Like Heaven (Live in Concert)

Anywhere Like Heaven (Live in Concert)

When i walk along your city streets and look into your eyes,
When i see that simple sadness that upon your features lies.
If my spirit starts to sink, it comes as no surprise,
It's been a long way from anywhere like heaven to your town, this town.
There's a pasture in the countryside i used to call my own.
There's a natural pillow for my head, the grass there's overgrown, yes and no.
I think of that place from time to time when i want to be alone,
It's been a long way from anywhere like heaven to your town, this town.
Now, people live from day to day, but they do not count the time.
They don't see the days slipping by and neither do i.
Now, people, they live from day to day, but they do not count the time, no.
They don't see their days slipping by and neither do i.
When i walk along your city streets and look into your eyes,
When i see that simple sadness that upon your features lies, i see lines.
If my spirit starts to sink, it comes as no surprise,
It's been a long way from anywhere like heaven to your town, this town.

Nulle part comme le paradis (En concert)

Quand je marche le long de tes rues et que je regarde dans tes yeux,
Quand je vois cette tristesse simple qui repose sur tes traits.
Si mon esprit commence à sombrer, ce n'est pas une surprise,
C'est un long chemin de nulle part comme le paradis à ta ville, cette ville.
Il y a un pâturage à la campagne que j'avais l'habitude d'appeler mien.
Il y a un oreiller naturel pour ma tête, l'herbe y est envahie, oui et non.
Je pense à cet endroit de temps en temps quand je veux être seul,
C'est un long chemin de nulle part comme le paradis à ta ville, cette ville.
Maintenant, les gens vivent au jour le jour, mais ils ne comptent pas le temps.
Ils ne voient pas les jours passer et moi non plus.
Maintenant, les gens, ils vivent au jour le jour, mais ils ne comptent pas le temps, non.
Ils ne voient pas leurs jours passer et moi non plus.
Quand je marche le long de tes rues et que je regarde dans tes yeux,
Quand je vois cette tristesse simple qui repose sur tes traits, je vois des lignes.
Si mon esprit commence à sombrer, ce n'est pas une surprise,
C'est un long chemin de nulle part comme le paradis à ta ville, cette ville.