Lyrics and translation Jimmy Barnes - Khe Sanh (Live)

Khe Sanh (Live)

I left my heart to the sappers round Khe Sanh
And my soul was sold with my cigarettes to the blackmarket man
I′ve had the Vietnam cold turkey
From the ocean to the Silver City
And it's only other vets could understand
About the long forgotten dockside guarantees
How there were no V-dayheroes in 1973
How we sailed into Sydney Harbour
Saw an old friend but couldn′t kiss her
She was lined, and I was home to the lucky land
And she was like so many more from that time on
Their lives were all so empty, till they found their chosen one
And their legs were often open
But their minds were always closed
And their hearts were held in fast suburban chains
And the legal pads were yellow, hours long, paypacket lean
And the telex writers clattered where the gunships once had been
But the car parks made me jumpy
And I never stopped the dreams
Or the growing need for speed and novacaine
So I worked across the country end to end
Tried to find a place to settle down, where my mixed up life could mend
Held a job on an oil-rig
Flying choppers when I could
But the nightlife nearly drove me round the bend
And I've travelled round the world from year to year
And each one found me aimless, one more year the more for wear
And I've been back to South East Asia
But the answer sure ain′t there
But I′m drifting north, to check things out again
You know the last plane out of Sydney's almost gone
Only seven flying hours, and I′ll be landing in Hong Kong
There ain't nothing like the kisses
From a jaded Chinese princess
I′m gonna hit some Hong Kong mattress all night long
Well the last plane out of Sydney's almost gone
Yeah the last plane out of Sydney′s almost gone
And it's really got me worried
I'm goin′ nowhere and I′m in a hurry
And the last plane out of Sydney's almost gone

Khe Sanh (Live)

J'ai laissé mon cœur aux sapeurs autour de Khe Sanh
Et mon âme a été vendue avec mes cigarettes au marché noir
J'ai eu la gueule de bois du Vietnam
De l'océan à la ville d'argent
Et seuls les autres vétérans pouvaient comprendre
Les garanties oubliées du quai
Comment il n'y avait pas de héros du jour J en 1973
Comment nous avons navigué dans le port de Sydney
J'ai vu un vieil ami, mais je n'ai pas pu l'embrasser
Elle était alignée, et j'étais rentré au pays des chanceux
Et elle était comme tant d'autres de cette époque
Leurs vies étaient toutes si vides, jusqu'à ce qu'elles trouvent leur élu
Et leurs jambes étaient souvent ouvertes
Mais leurs esprits étaient toujours fermés
Et leurs cœurs étaient tenus enchaînés dans des banlieues rapides
Et les blocs de papier étaient jaunes, les heures longues, les salaires maigres
Et les télégraphistes claquaient où les hélicoptères de combat étaient autrefois
Mais les parkings me rendaient nerveux
Et je n'ai jamais arrêté de rêver
Ou le besoin croissant de vitesse et de novocaïne
Alors j'ai travaillé à travers le pays d'un bout à l'autre
J'ai essayé de trouver un endroit pour m'installer, où ma vie chaotique pouvait se réparer
J'ai eu un emploi sur une plate-forme pétrolière
En pilotant des hélicoptères quand je le pouvais
Mais la vie nocturne m'a presque rendu fou
Et j'ai voyagé à travers le monde d'année en année
Et chacun m'a trouvé sans but, une année de plus pour l'usure
Et je suis retourné en Asie du Sud-Est
Mais la réponse n'est pas là
Mais je dérive vers le nord, pour vérifier à nouveau les choses
Tu sais, le dernier avion au départ de Sydney est presque parti
Seulement sept heures de vol, et j'atterrirai à Hong Kong
Il n'y a rien de tel que les baisers
D'une princesse chinoise blasée
Je vais frapper un matelas de Hong Kong toute la nuit
Eh bien, le dernier avion au départ de Sydney est presque parti
Ouais, le dernier avion au départ de Sydney est presque parti
Et ça me fait vraiment peur
Je ne vais nulle part et je suis pressé
Et le dernier avion au départ de Sydney est presque parti