Lyrics and translation Josh Pyke - Love Lies

Love Lies

Summer salted all our winter wounds
And pressed them cool against the tiles,
Keep your heat when seasons die,
And darken like the night

Unfold this day into a paper crane
And fold the wings from my desires,
Courage can be written down,
And practiced like a lie

I followed my longing to feel something new,
My love, it followed me
Right back to you

Well I trace the map in the curve of your spine,
I get lost by the hour in the blink of your eye,
In the shadowed valleys of your backbone I find
Love lies

Summer tried to drown my shadow in the sea,
But my shadow swims along beneath,
And mirrors me on blackened shores,
Our darkness never leaves

I followed my longing to feel something new,
My love, it followed me
Right back to you

Well I trace the map in the curve of your spine,
I get lost by the hour in the blink of your eye,
In the shadowed valleys of your backbone I find
Love lies

So I followed my longing,
My longing won't die,
I'm still tracing the map in the curve of your spine,
And the shadows are lengthening into the night,
Well, love lies

Les mensonges de l'amour

L'été a salé toutes nos blessures d'hiver
Et les a pressées contre les carreaux, froides,
Garde ta chaleur quand les saisons meurent,
Et s'assombrissent comme la nuit

Déroule ce jour en une grue en papier
Et plie les ailes de mes désirs,
Le courage peut s'écrire,
Et s'entraîner comme un mensonge

J'ai suivi mon désir de ressentir quelque chose de nouveau,
Mon amour, il m'a suivi
Tout droit vers toi

Je trace la carte dans la courbe de ton échine,
Je me perds des heures dans le battement de tes yeux,
Dans les vallées ombragées de ta colonne vertébrale, je trouve
Les mensonges de l'amour

L'été a essayé de noyer mon ombre dans la mer,
Mais mon ombre nage en dessous,
Et me reflète sur les rives noircies,
Nos ténèbres ne partent jamais

J'ai suivi mon désir de ressentir quelque chose de nouveau,
Mon amour, il m'a suivi
Tout droit vers toi

Je trace la carte dans la courbe de ton échine,
Je me perds des heures dans le battement de tes yeux,
Dans les vallées ombragées de ta colonne vertébrale, je trouve
Les mensonges de l'amour

Alors j'ai suivi mon désir,
Mon désir ne mourra pas,
Je trace toujours la carte dans la courbe de ton échine,
Et les ombres s'allongent dans la nuit,
Eh bien, les mensonges de l'amour