José Larralde - Hombre - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation José Larralde - Hombre




Hombre
Homme
No tengo mas fortuna
Je n'ai pas plus de fortune
Que estos dos brazos que Dios me ha dao,
Que ces deux bras que Dieu m'a donnés,
Si no han tocao la luna
S'ils n'ont pas touché la lune
Es porque no han probao.
C'est qu'ils n'ont pas goûté.
Mis brazos hacen todo
Mes bras font tout
Cinchando por un pan bien ganao,
En travaillant dur pour un pain bien gagné,
Y no le encuentro el modo
Et je ne trouve pas le moyen
Paque esten olvidaos.
Pour qu'ils soient oubliés.
Y no le encuentro el motivo
Et je ne trouve pas la raison
Y Dios es testigo
Et Dieu en est témoin
Que lucho conmigo al pensar,
Que je lutte contre moi-même en pensant,
Como lucho sin desgano
Comme je lutte sans relâche
Si mi propio hermano
Si mon propre frère
Me puede olvidar.
Peut m'oublier.
Le he preguntao al tiempo
J'ai demandé au temps
Donde lleva el amor el de al lao,
l'amour de la voisine s'était envolé,
Me contestó sonriendo
Il m'a répondu en souriant
Que se había extraviao.
Qu'il s'était égaré.
Me pregunté a mi mismo
Je me suis demandé
Donde se habrá refugiao,
il s'était réfugié,
Lo encontró el egoísmo
L'égoïsme l'a trouvé
Y lo tiene encerrao.
Et le tient enfermé.
Abrí los ojos hemano
J'ai ouvert les yeux, mon frère
No te cegués que vas a sonar
Ne te laisse pas aveugler, tu vas t'en rendre compte
Por mas montao que vayas
Peu importe à quel point tu es arrogant
El tiempo te ha de ganar.
Le temps finira par te vaincre.
La rodada es pareja
La vie est équitable
Y vos no te habrás de salvar,
Et tu ne pourras pas t'en sortir,
Pisoteada es la tierra
La terre est piétinée
Pero al fin te la da.
Mais au final, elle te la donne.
Y no le encuentro el motivo
Et je ne trouve pas la raison
Y Dios es testigo
Et Dieu en est témoin
Que lucho conmigo al pensar
Que je lutte contre moi-même en pensant
Que reventando al de enfrente
Que si je fais exploser celui d'en face
Revienta o reviente
Qu'il explose ou non
Vamos a reventar.
On va tous exploser.





Writer(s): jose larralde


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