Lyrics and translation Juan Gabriel - Homenaje a Lola (Popurri) [En Vivo]

Homenaje a Lola (Popurri) [En Vivo]

Fue en un pueblo, fue en un pueblo muy bonito
Donde Dios creo a una estrella, la mas grande mi patria
De mi patria Mexicana!!,
Fue en Rosario, Sinaloa, donde Dios creo a mi Lola
Y la lleno de sentimiento, voz amor y temperamento,
Y hoy por el mundo se tremola, el nombre de Lola
Lola la Grande, Lola la Reina, que viva Lola
Cucurrucucú, (Cucurrrucucú), paloma,
Cucurrucucú, no llores,
Dicen que por las noches nomas se le iba en puro llorar
Dicen que no dormía, nomás se le iba en puro tomar
Juran que el mismo cielo, se estremecia al oir su llanto
Como sufrió por ella, que hasta en su muerte la fue llamando
Cucurrucucú, paloma, Cucurrucucú, no llores
Ya me canso, de llorar y no amanece,
Ya no se si maldecirte o por ti rezar
Tengo miedo de buscarte y de encontrarte
Donde, me aseguran, mis amigos que te vas
Hay momentos en que quisiera, mejor rajarme
Y arrancarme ya los clavos de mi penar
Pero mis ojos, se mueren, sin mirar tus ojos
Y mi cariño, con la aurora te vuelve a esperar
Revolotenado el nido destruido,
Un gorrioncillo pecho amarillo
Con sus alitas casi sangrando,
Su pajarita anda buscando
Cuando se cansa, se para y canta,
Hasta parece que esta llorando
Luego se alejay se va cantando,
Solo Dios sabe, si va llorando
Mientras que las vaquillas son,
En el tentadero
Unica y nada mas, nada mas, pa los toreros
Por fuera del redondel, por cierto
De piedras hecho
Sentado llora un chiquillo, sentado
Llora en silencio
Con su muletilla enjuga sus lagrimas
De torero,
Con su muletilla enjuga sus lagrimas
De torero,
De pronto la noche hermosa, ha visto
Algo y esta llorando
Palomas!, Palomas blancas, vienen del cielo
Y vienen bajando!!
Mentiras, si son pañuelos, pañuelos
Blancos llenos de llanto
Que caen como blanca escarcha,
Sobre el chiquillo que ha agonizado
Silencio (silencio), silencio, que nuestra Lola
Esta... Descansando.

Homenaje a Lola (Popurri) [En Vivo]

Ce fut dans un village, un village très agréable
Où Dieu créa une étoile, la plus grande de mon pays
De mon pays mexicain !
C'est à Rosario, Sinaloa, que Dieu créa ma Lola
Et la remplit de sentiment, d'amour et de tempérament
Et aujourd'hui, son nom est célébré dans le monde entier
Lola la Grande, Lola la Reine, vive Lola
Cucurrucucú, (Cucurrrucucú), ma colombe,
Cucurrucucú, ne pleure pas,
On raconte que la nuit, elle ne faisait que pleurer
On raconte qu'elle ne dormait pas, et qu'elle n'arrêtait pas de boire
On jure que le ciel lui-même tremblait en entendant ses pleurs
Comme elle souffrait pour elle, et même dans la mort, elle ne cessait de l'appeler
Cucurrucucú, palome, Cucurrucucú, ne pleures pas
Je suis fatiguée de pleurer sans que le jour ne se lève
Je ne sais plus si je dois te maudire ou prier pour toi
J'ai peur de te chercher et de te trouver
Là où, d'après mes amis, tu te trouves
Parfois, j'aimerais mieux m'enfuir
Et arracher les clous de ma peine
Mais mes yeux se meurent, sans voir tes yeux
Et mon amour, t'attend de nouveau à l'aube
Volant autour du nid détruit,
Un petit moineau à poitrine jaune
Avec ses ailes presque ensanglantées,
Cherchant sa petite compagne
Quand il est fatigué, il s'arrête et chante,
On dirait qu'il pleure
Puis il s'éloigne et s'en va en chantant,
Dieu seul sait, s'il pleure
Alors que les vaquilles sont,
Dans le tentadero
Unique et rien de plus, rien de plus, pour les toreros
À l'extérieur du rond-point, d'ailleurs
Fait de pierres
Assis, un petit garçon pleure, assis
Il pleure en silence
Avec sa béquille, il essuie ses larmes
De torero,
Avec sa béquille, il essuie ses larmes
De torero,
Soudain, la nuit magnifique, a vu
Quelque chose et pleure
Des colombes ! Des colombes blanches, viennent du ciel
Et elles descendent !
Menteuses, ce sont des mouchoirs, des mouchoirs
Blancs pleins de larmes
Qui tombent comme une blanche gelée,
Sur le petit garçon qui a agonis
Silence (silence), silence, notre Lola
Se repose.